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Folio
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Surnommé «l'homme qui répare les femmes», le gynécologue et chirurgien Denis Mukwege a consacré sa vie aux femmes victimes de sévices sexuels en République démocratique du Congo. Dans une région où le viol collectif est considéré comme une arme de guerre, le docteur Denis Mukwege est chaque jour confronté aux monstruosités des violences sexuelles, contre lesquelles il se bat sans relâche, parfois au péril de sa vie. Dès 1999, il fonde l'hôpital de Panzi dans lequel il promeut une approche «holistique» de la prise en charge : médicale, psychologique, socio-économique et légale. Écrit à la première personne, La force des femmes retrace le combat de toute une vie en dépassant le genre autobiographique. L'héroïne du roman, c'est la femme composée de toutes ces femmes. L'auteur rend un véritable hommage à leur courage, leur lutte. Pour lui, il s'agit d'une lutte mondiale : «C'est vous, les femmes, qui portez l'humanité.» Ainsi, à travers le récit d'une vie consacrée à la médecine et dans un vrai cri de mobilisation, Denis Mukwege nous met face au fléau qui ravage son pays et nous invite à repenser le monde. La force des femmes clame haut et fort que guérison et espoir sont possibles pour toutes les survivantes.
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La cause des femmes ; le temps des malentendus
Gisèle Halimi
- Folio
- Folio
- 21 Février 1992
- 9782070384587
Le féminisme, c'est quoi ? Ça existe ? Aujourd'hui ça pourrait exister. Et pour quoi faire ? «Les femmes ont tout obtenu», répondent-ils, et même répondent-elles, quelquefois. Et pour quels résultats ? La solitude de fond de la féminité, et la déroute de nos mâles devant leurs égales. «La super woman» est épuisée. Quant au commun des hommes, sans le «miroir grossissant» que présentait, à ses exploits masculins, sa compagne d'antan, il se sent réduit de moitié. Donc grandeur nature. [...] Enfermée dans son rôle féminin, la femme ne mesure pas à quel point son oppresseur est lui-même prisonnier de son rôle viril. En se libérant, elle aide à la libération de l'homme. En participant à égalité à l'Histoire, elle la fait autre. Cela ressemble fort à une révolution tranquille, mais forte et sûre de l'avenir. Pourquoi le féminisme aujourd'hui ? Justement pour réussir là où l'égalité économique a échoué. Là où la culture patriarcale résiste. Le féminisme vient seulement de commencer sa longue marche. Dans vingt ans, dans cent ans, il aura changé la vie. Gisèle Halimi(1992).
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Travailler sans patron. Mettre en pratique l´économie sociale et solidaire
Simon Cottin-Marx, Baptiste Mylondo
- Folio
- Folio Actuel
- 18 Avril 2024
- 9782073046789
Alors que de nombreux salariés aspirent à une transformation de l'organisation du travail, que signifie concrètement la promesse de travailler sans patron ? Quelles solutions ont été trouvées dans notre monde actuel pour répondre au besoin d'autonomie et à l'envie de se réapproprier les outils de production pour nourrir un projet qui fasse sens ? Dans cet essai dynamique et éclairant, les deux jeunes auteurs vont à l'encontre des discours ou pessimistes ou méprisants qui ne voient dans l'autogestion que de doux rêves : des collectifs de travail, insérés dans le secteur de l'économie sociale et solidaire, tentent chaque jour de la mettre en place. Les nombreuses analyses de cas - scieries, boulangeries, ONG... - montrent que si l'autogestion n'est pas chose aisée, elle n'en reste pas moins possible, à condition d'user des bonnes méthodes. Ce sont celles-ci que les chercheurs détaillent, en insistant à chaque fois sur les efforts mis en place par les acteurs pour répondre au contexte particulier dans lequel ils s'insèrent.
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«- Je m'appelle Frank T. et je suis un alcoolique.
- Je m'appelle Elizabeth F. et je suis une alcoolique.
Selon la condition sociale, le vêtement était luxueux, ou pauvre. Selon le degré d'éducation, variaient les manières et les voix. Mais l'origine, la culture, le costume, la fortune des hommes et des femmes qui parlaient ainsi et des hommes et des femmes à qui s'adressaient leurs propos n'avaient aucune importance. Ils étaient tous unis par un lien commun, plus fort que celui d'un milieu, d'une race, d'une famille, ou même d'un amour. Blancs ou Noirs, opulents ou misérables, illettrés ou savants, ils étaient solidaires, ils étaient frères à jamais, parce qu'ils avaient subi le même mal dévorant et qu'ils avaient laissé aux griffes du monstre leur chair et leur âme.» Ce célèbre reportage contribua à l'installation en France des Alcooliques Anonymes. Il conserve toute son actualité.
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Islam et femmes, les questions qui fâchent
Asma Lamrabet
- Folio
- Folio Essais
- 20 Septembre 2018
- 9782072789083
Parler des questions qui fâchent en islam à propos des femmes n'est pas une provocation, mais une nécessité. Il s'agit de clarifier, de rectifier, mais aussi souvent de dénoncer.
Clarifier la confusion entre le message spirituel du Coran et l'orthodoxie interprétative institutionnalisée. Rectifier le grand nombre de préjugés sexistes et parfois diffamatoires transcrits dans la tradition musulmane au nom des préceptes divins. Dénoncer ce qu'une culture patriarcale a forgé dans l'esprit des musulmans : la dévalorisation des femmes.
Voile, polygamie, égalité dans l'héritage...Asma Lamrabet inventorie les discriminations imposées aux femmes au nom de l'islam. Or la plupart des interprétations classiques, d'origine médiévales, produit de leur milieu social et culturel, se sont construites à la marge et parfois à l'encontre du Texte sacré, porteur, lui, d'une vision plus égalitaire et ouverte.
Ce livre n'est pas seulement d'ores et déjà une référence: il est l'outil indispensable pour savoir de quoi on parle avec intelligence des enjeux quand est abordé ce sujet essentiel.
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Certains hommes croient en un dieu ; d'autres en plusieurs ; d'autres encore sont athées ou agnostiques.
Tous ont à vivre ensemble. cette vie commune, selon la première déclaration des droits de l'homme, doit assurer à chacun et la liberté de conscience, qui exclut toute contrainte religieuse ou idéologique, et l'égalité de droit, incompatible avec la valorisation privilégiée d'une croyance. la puissance publique promeut le bien commun. elle devra donc être neutre sur le plan confessionnel et développer, par l'instruction, l'exercice autonome du jugement.
Afin que tous apprennent à vivre leurs convictions sans fanatisme ni intolérance. ainsi comprise, la laïcité n'est pas de l'ordre d'une option spirituelle particulière, mais constitue une condition de possibilité fondamentale de la vie publique. on ne saurait en conséquence la renégocier sans cesse, notamment au gré des fluctuations du paysage religieux et des rapports de forces qui les sous-tendent.
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Bioéthique, charité médiatique, actions humanitaires, sauvegarde de l'environnement, moralisation des affaires, de la politique et des médias, débats autour de l'avortement et du harcèlement sexuel, croisades contre la drogue et le tabac : partout la revitalisation des «valeurs» et l'esprit de responsabilité sont brandis comme l'impératif premier de l'époque. Il y a peu, nos sociétés s'électrisaient à l'idée de libération individuelle et collective, aujourd'hui elles vont proclamant qu'il n'est plus d'utopie possible que morale.Pour autant, il n'y a aucun «retour de la morale». L'âge du devoir rigoriste et catégorique s'est éclipsé au bénéfice d'une culture inédite qui diffuse davantage les normes du bien-être que les obligations suprêmes de l'Idéal, qui métamorphose l'action morale en show récréatif et en communication d'entreprise, qui promeut les droits subjectifs mais fait tomber en déshérence le devoir déchirant.Face aux menaces du néo-moralisme comme du cynisme à courte vue, il convient de réhabiliter l'intelligence en éthique qui se montre moins soucieuse d'intentions pures que de résultats bénéfiques pour l'homme, qui n'exige pas l'héroïsme du désintéressement mais l'esprit de responsabilité et la recherche de compromis raisonnables. Libéralisme pragmatique et dialogué ou nouveau dogmatisme éthique ? Le visage de demain sera à l'image de cette lutte que se livrent ces deux logiques antagonistes de l'après-devoir.
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Une étude comparée des argots des classes dangereuses à travers une dizaine de pays d'Europe et d'Amérique met en lumière les influences communes qui, voilà déjà plus de cinq siècles, avaient favorisé leur formation. S'y trouvent ainsi établies l'étymologie et la véritable signification de mots devenus aussi courants qu'arnaque, cave, came, toc, tapin, boudin, micheton, thune, dèche, rousse, poulaille, vache, tabasser, mouton, mais aussi bistrot, flamenco, fado, cocu, racket, tchao, mafia, chicane, pagaille, rôdeur ou camarade...
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Le deuil, entre le chagrin et le néant
Vincent Delecroix, Philippe Forest
- Folio
- Folio Le Forum
- 16 Mars 2017
- 9782072722981
« Peut-on demeurer inconsolable ? » Philippe Forest, on le sait, a éprouvé la mort d'un enfant, sa petite fille de quatre ans :
C'est l'expérience fondatrice de son oeuvre littéraire. Il se demande alors « qu'avait à dire la philosophie de la mort d'un enfant ». Cette question-là est débattue avec Vincent Delecroix.
La littérature croise la philosophie, et toutes deux, corpus à l'appui, se préoccupent non pas du « comment apprendre à mourir » - sujet de la philosophie stoïcienne - mais de la mort vue du côté du vivant qui reste. Le débat est émouvant et profond, voici quelques autres citations à retenir :
« «Ca va aller». C'est la pire chose qu'on peut dire à quelqu'un qui est en deuil. » « Tout nous incite à accepter la mort, mais quelque chose en nous résiste à cette acceptation. » « On prend toujours la place de quelqu'un d'autre. Et rien ne le justifie. »
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Figure des transformations que connaît la France, le département de la Seine-Saint-Denis (93) s'inscrit, avec l'importante présence musulmane, au coeur des bouleversements démographiques et migratoires - de la marche forcée de la désindustrialisation à la haute technologie, de la persistance du chômage et d'une intégration sociale difficile à mettre en oeuvre à la percée des nouvelles générations dans le champ politique, culturel ou économique.
Ces contrastes très accusés sont l'une des caractéristiques les plus saillantes et les moins connues de l'islam de France.
Quatre-vingt-treize partage avec le lecteur l'expérience du terrain au quotidien, depuis les mosquées et les HLM jusqu'aux lambris des palais de la République, et la perspective historique de trois décennies écoulées, à travers l'islam des «darons», des Frères et des jeunes. Entre la tentation salafiste et la participation aux élections, le halal et l'internet, l'islam de France déploie une multiplicité de facettes qui s'inscrivent dans une citoyenneté encore inaccomplie.
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«Pour les esprits sidérés par la référence constante et élogieuse à la Révolution culturelle et au maoïsme, et qui se montrent sceptiques ou franchement hostiles à l'idée même d'une réactivation de l'idée communiste, il y avait de quoi se réjouir à la perspective de voir Alain Badiou confronté à l'un des plus éminents théoriciens et défenseurs de la démocratie. À l'inverse, pour ceux qui considèrent que les penseurs de l'antitotalitarisme comme Marcel Gauchet ont fait le lit d'une re-légitimation du néolibéralisme en partie responsable de la crise actuelle, il y avait aussi de quoi se frotter les mains à l'idée de le voir débattre avec l'un des critiques les plus consistants et sévères du libéralisme contemporain».
Martin Duru et Martin Legros.
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La laïcité au quotidien ; guide pratique
Régis Debray, Didier Leschi
- Folio
- Folio Le Forum
- 1 Janvier 2016
- 9782070469628
Nous avons tous en tête des « affaires » traitées autant par les médias qu'utilisées par le personnel politique, dans lesquelles la « laïcité » tient le mauvais rôle. La loi qui a instauré la séparation des Églises et de l'État semblait donner une ligne de conduite claire. Mais la morale laïque se heurte à des obstacles nouveaux, nés souvent du brouillage entre le public et le privé, de la prééminence de l'individu sur le citoyen.Chacun garde en mémoire les faits de société qui semblent remettre en cause son principe, comme s'il s'opposait, par des glissements continus, aux convictions personnelles : la cantine scolaire doit-elle proposer différents types de repas ? le caricaturiste peut-il faire preuve d'irrévérence sans être sous le coup d'une condamnation ? peut-on autoriser le travail pendant le « jour du seigneur » ? dans quels lieux célébrer les funérailles présidentielles ? est-il acceptable qu'une femme préfère être examinée par une doctoresse plutôt que par un docteur ?
À toutes ces questions qui se transforment en casse-tête pour la vie collective, Régis Debray et Didier Leschi répondent en rappelant ce que dit la loi de 1905 sur l'exercice de la laïcité, plus prévoyante qu'on ne le croit, et font également appel au bon sens et à la volonté de vivre selon, comme ils l'écrivent, un « régime de cohabitation civilisée ».
38 cas pratiques, depuis A comme Aumônerie jusqu'à Z comme Zèle (en passant par Cloches et Muezzin, Foulard, Dimanche, Non-mixité, Vues de l'étranger), soumis à l'examen impartial et informé de Régis Debray et de Didier Leschi.
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«L'abus des drogues représente une menace aussi destructrice pour cette génération et les générations futures que les épidémies de peste qui ont ravagé de nombreuses régions du monde au siècle passé.» : cette déclaration d'un secrétaire général de l'ONU dit bien comment habituellement le phénomène de la drogue est envisagé - comme un fléau venu frapper de l'extérieur des populations désarmées.Or la drogue, aujourd'hui, est une économie qui se développe avec toutes les phases de la mondialisation : du pays producteur, généralement pauvre mais qui tire d'une faible mise de fonds des profits sans commune mesure, à la respectable institution financière d'un pays riche et consommateur qui recycle l'argent de la drogue, les circuits se mondialisent, rendant de plus en plus floue la frontière entre économie illicite et économie légale.En sorte que toute lutte contre la drogue qui se voudrait nationale est vouée à l'échec. S'il est une mondialisation souhaitable, c'est bien celle du combat contre les drogues.
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«Dans cette anthologie, Mai 68 apparaît sous une forme paradoxale : intense et insignifiant, vivant et disparu, haï et regretté, utopie réaliste qui demande l'impossible, phénomène contradictoire qui agrège tous les imaginaires du temps sans jamais s'y limiter. Mais sa force réside encore aujourd'hui dans cette force de subversion et cette capacité de saper tout ce qui croyait pouvoir durer et qui, depuis, se sait provisoire. Une brèche fut ouverte. Mai aura cette année cinquante ans. L'âge des pères qu'il giflait, l'âge largement dépassé de la génération à laquelle il a donné son nom. Le temps de métamorphoser à force de discours la plaie en cicatrice.» Sophie Doudet.
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Génération 69 ; les trentenaires ne vous disent pas merci
Charbonneau/Guimier
- Folio
- Folio Documents
- 12 Octobre 2006
- 9782070337606
La « Bof génération » se rebiffe ! Au mieux ignorés, mais le plus souvent méprisés par leurs aînés, les trentenaires en ont assez ! Assez d'être réduits à une génération d'éternels « adulescents » individualistes et désabusés. Assez d'être exclus des scènes politiques, économiques, culturelles et médiatiques. Assez de devoir assumer, sans pouvoir le contester, l'héritage pas toujours flamboyant des héros grisonnants du «Grand soir de Mai». À travers ce livre d'humeurs, parfois cruel mais jamais méchant, Laurent Guimier et Nicolas Charbonneau dressent le portrait sans complaisance de la fracture générationnelle entre les baby-boomers un tantinet envahissants et leurs enfants, ces dix millions de Français qui sentent bien que leur heure arrive. Enfin !
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Sacrés fonctionnaires ! Un américain face à notre bureaucratie
Ted Stanger
- Folio
- Folio Documents
- 17 Novembre 2008
- 9782070344611
Ted Stanger frappe encore ! "Le plus français des Américains" jette cette fois son regard moqueur sur le monde des fonctionnaires et... des administrés. Ressortissant d'un pays où même la carte d'identité n'existe pas, il brosse le tableau à la fois drôle, ironique et impertinent de notre système administratif et de ses cinq millions d'agents. A propos de l'invraisemblable dépendance affective des Français vis-à-vis de la fonction publique, il constate, amusé : "Vous êtes tous des licenciés ès dossier, des fidèles du guichet, des remplisseurs de formulaires, des cocheurs de cases." A travers ces chroniques, Ted Stanger nous dévoile ses allergies face à la bureaucratie sous toutes ses formes. Un rejet de la paperasserie qui l'a d'ailleurs poussé à préférer vivre en France comme un sans-papiers pendant dix ans. De son mariage raté pour cause de formalités excessives à son amour secret pour une contractuelle bienveillante en passant par l'hystérie fiscale, les passe-droits institutionnalisés, notre paysannerie subventionnée, nos services publics anesthésiés ou encore l'invention du libéralisme planifié, l'auteur fait son miel et s'interroge sur le lien entre un certain déclin français et le trop-plein d'Etat-providence. Fonctionnaire ou pas, tout le monde se reconnaîtra dans ce portrait d'une France exceptionnelle, telle que seul cet Américain francophile pouvait la décrire.
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N'était la gravité du problème, on pourrait s'amuser du discours des hommes politiques qui semble, telle une superproduction hollywoodienne, annoncer «Plein emploi, le retour». Or rien de tel ne peut plus advenir.Le plein emploi appartient au passé, celui de l'expansion des années soixante. Depuis lors, le grand ébranlement des crises économiques a effacé les frontières hier encore strictement délimitées entre emploi, chômage et inactivité. Désormais, l'emploi ne peut plus être défini par un revenu lié au travail, un statut social et un engagement permanent dans la production classique de biens et de services. Sommes-nous implicitement passés de l'objectif d'antan de plein emploi à celui de «pleine activité», avec toute l'ambiguïté que comporte ce terme si l'on en croit les différentes acceptions qu'il reçoit aujourd'hui ? Comment définir la nouvelle notion d'activité, élargissant celle de l'emploi typique traditionnel, pour garantir à chacun ressources, implication dans des activités socialement utiles et surtout statut reconnu et valorisé ?