Comment raconter, en journalistes, ce qui relève de la croyance ou peut-être, tout simplement, échappe à nos sens ? L'invisible, l'imperceptible à l'oeil nu. La question se pose dans ce numéro d'été, qui espère vous faire voyager. Ce sont d'abord les réactions des femmes de ménage qui ont mis la puce à l'oreille du journaliste Pierre Carrey : elles refusent de travailler devant certaines oeuvres du musée du Quai Branly. Les statuettes seraient-elles hantées ? Passées au scanner, désacralisées lors de cérémonies, cachées au sous-sol, elles provoquent en tout cas des réactions bien particulières. Les chasseurs de trésors, eux, craignent les djinns, en Turquie, et peut-être plus encore en cette période électorale. Ils n'y croient pas, mais sait-on jamais. Il faut dire qu'ils pillent des tombes arméniennes, dans l'espoir de faire fortune. Miroir aux alouettes, ou retour du refoulé ? Comme en Irak, où doivent vivre cloîtrés les enfants d'anciens membres de Daech, et pour la reconnaissance desquels les mères se battent aujourd'hui. En France, à l'Assemblée nationale, les invisibles, ce sont les gardes, les fleuristes ou encore les cuisiniers, qui ne témoignent jamais. Ils ont accepté ¿ une première ¿ d'être suivis par Kokopello, en BD, et racontent un espace clos soumis à l'accélération du temps législatif, de plus en plus malmené. Dans d'autres enceintes, celles de parcs naturels, en Afrique, c'est une nature sauvage pour chasseurs occidentaux et grandes entreprises qui est préservée à coup d'interdictions, au détriment des populations vivant sur place, et sous couvert de protection de la biodiversité. Il semble qu'aujourd'hui, l'invisible se fasse très géopolitique.
Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous !
Après vous...
Il détruit notre quotidien sans même qu'on s'en rende compte. Il n'a pas de frontière et des moyens colossaux. Ce fléau, c'est la planète of shore. Une masse d'argent estimée à dix mille milliards de dollars. Depuis des années, des policiers, des magistrats, des parlementaires et des journalistes dénoncent cette face cachée de notre économie. Et pourtant rien ne change. Le système mute, se transforme mais il est toujours là. Alors pour comprendre les secrets de cette planète, XXI s'est associé au Consortium des Journalistes d'investigation basé à Washington. Notre projet : raconter les coulisses de cette lutte avec les meilleurs spécialistes. Le résultat : un numéro spécial de XXI mêlant textes, photos et bande dessinée. Des histoires d'hommes pour réfléchir et des idées nouvelles pour agir.
DOSSIER DE COUVERTURE Fin 2022, les Nations unies publient de nouvelles projections de population mondiale :
Nous sommes 8 milliards sur terre et le chiffre continuera de grimper tout au long du siècle. L'impression d'une machine à reproduire qui se serait emballée.
À contrepied de ces chiffres sans humanité, 6Mois zoome sur ces 8 milliards d'individus parmi lesquels certains luttent pourréaliserleurrêve d'avoir un enfant.
Nous irons :
- En Ukraine, où des mères porteuses réalisent un rêve qui n'est pas le leur - En Palestine où des femmes de prisonniers tentent l'impossible - En Chine, où les sacrifices quotidiens d'une mère aboutissent enfin Et aussi :
- PHOTOBIOGRAPHIE : José Bové, retraité volontaire - RÉCIT LIBRE : Birmanie, avec les soldats de la rébellion - ENTRETIEN : Toros Aladjajian, le tireur de Henri Cartier Bresson et Capa.
Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...
Dans La Valeur des rêves, Marie Lebey fait le récit, sur les chapeaux de roue, d'une aventure rocambolesque, faite de remontées dans le temps allant jusqu'à la Seconde guerre mondiale, et de traversées à travers la France allant de Paris à Saint-Vincent-de-Paul : une oeuvre d'art majeure, une sculpture monumentale créée par Alexander Calder, l'immense artiste américain, a été découverte par hasard au beau milieu d'un camp de vacances, avant d'être revendue quelques mois plus tard pour un montant record.
Plus connu du grand public pour son travail sur le « mobile », Calder a aussi réalisé une série de « stabiles » qui, eux, ne bougent pas, et c'est à cette catégorie qu'appartient « Moustipic », le trésor après lequel court la narratrice de ce roman aussi drôle que documenté sur les coulisses du monde de l'art contemporain.
La valeur des rêves, c'est ça : le décalage entre un stabile qui sert de Tancarville aux maillots de bain et sa valeur sur le marché de l'art.
NOUVELLE FORMULE. Après trois ans d'existence, Zadig fait peau neuve ! Le trimestriel fondé par Éric Fottorino (Le 1, America, Légende) lance sa nouvelle formule autour des grandes passions françaises. Avec un premier numéro consacré au train, ce transport extrêmement populaire dans l'hexagone qui a contribué à construire notre territoire et notre identité : comme une invitation aux voyages et aux rencontres. Dans ce numéro également: une conversation de 20 pages avec l'acteur Kad Merad, une grande enquête sur les tensions immobilières au Pays basque, les chroniques littéraires de Karine Tuil, Philippe Claudel, Mazarine Pingeot, Philippe Jaenada.
Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock.
Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...
« On résiste à l'invasion des armées ; on ne résiste pas à l'invasion des idées. » Relire notre histoire récente à l'aune de Victor Hugo (Histoire d'un crime) peut donner le vertige. Vertige des conquêtes militaires, vertige de ces mercenaires russes et leur cohorte de crimes commis en Afrique, vertige des mensonges de la guerre érigés en vérité du jour.
Notre époque est cruelle pour la vérité. Malmenée, bafouée, rognée, tordue et déchirée en mille morceaux par les acteurs du pouvoir, la vérité se noie dans les sombres desseins de ceux qui veulent convaincre les esprits faibles. Tous ceux qui sont prêts à exécuter les partisans de la démocratie sans le moindre scrupule. Tous ces ennemis de la liberté qui ne font plus de différence entre le Nord et le Sud, les riches et les pauvres, les villes et les campagnes. Partout, ils pillent, manigancent des complots permanents, corrompent gouvernements et États sans vergogne. Avec, toujours, une même et seule victime, la vérité.
Qu'il s'agisse de conquérir le droit de jouer au rugby, de canaliser la rage des jeunes de banlieue ou de rentabiliser la notoriété de Marcel Proust, les histoires de ce numéro de XXI nous rappellent à quel point la volonté des hommes est un puissant facteur de cohésion.
Alors que faire ? Que faire, sinon continuer à rétablir le fil des événements, à retracer le destin des sociétés et à faire vivre l'idée que le collectif a encore un sens. Pour gagner la plus importante des batailles, comme le rappelle Hugo, celle des idées.
Sous la direction de Christophe Ernault et Laurence Rémila.
Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...
Vie privée, relations amicales et amoureuses, exode des villes, boom du marché de l'emploi, reconversion professionnelle subie ou choisie, développement des mobilités douces... Le Covid continue de bouleverser nos vies, amenant certains d'entre nous à des choix plus ou moins radicaux, synonymes de nouveaux départs. À travers des reportages et des témoignages, le grand dossier de Zadig 16 explore les conséquences du Covid sur nos existences. Dans ce numéro également: une enquête sur la mainmise des cabinets dans le management des hôpitaux, une nouvelle inédite d'Anne Berest, une conversation avec l'écrivaine Françoise Chandernagor, membre du jury Goncourt, une tribune de Sandrine Rousseau: « Il faut désobéir », un autoportrait intime de Marc Dugain.
Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...
Sujet de couverture - Nims Purja, la révolution himalayenne / François Carrel.
Nims Dai, de son vrai nom Nirmal Purja, est depuis 2019 le détenteur du record de vitesse de l'ascension des 14 sommets de plus de 8000 mètres de la planète, qu'il a effectué en six mois et six jours. En 2020, avec les mêmes méthodes logistiques lourdes et toujours avec un groupe d'alpinistes exclusivement Népalais, il s'est adjugé un autre mythe convoité : la première ascension hivernale du K2 au Pakistan, dernier 8000 jamais gravi en hiver. « 14 Peaks : nothing is impossible », le documentaire sur Nims Dai diffusé mondialement par Netflix en décembre dernier a fait sensation et la version française de son best-seller Beyond Possible parait ce printemps en France.
Derrière les performances physiques, logistiques et médiatiques de cet ancien Gurkha de l'armée britannique se dévoile un tournant dans l'histoire de l'himalayisme. D'abord, c'est une sorte de décolonisation que ce Népalais réalise, en se réappropriant la mythologie de ces très hautes montagnes. Les Occidentaux y ont tenu le premier rôle depuis un siècle, tandis que les Népalais étaient cantonné au rang de simples porteurs d'altitude, malgré leur rôle essentiel. Aujourd'hui les Népalais, derrière Nims Dai, retrouvent leur fierté en revendiquant le leadership. Au delà de la sphère sportive, c'est bien de business dont il s'agit : les Népalais assurent désormais eux-même une part de plus en plus importante du très lucratif marché des expéditions commerciales sur l'Everest. Nims Dai, qui a lui même créé son agence anglo-népalaise haut de gamme, entend régner sur le marché, et vise en parallèle celui des 7 Summits, les points culminants des sept continents.
Ces acteurs Népalais, Sherpas pour la plupart, reprennent et amplifient cependant les travers de la course à la très haute altitude inventée par les Occidentaux : suréquipement et surfréquentation des voies classiques des sommets les plus connus, dont Everest, généralisation de l'usage de l'hélicoptère pour les approches, utilisation de plus en plus massive et précoce de l'oxygène supplémentaire, médiatisation et marketing débridés. Ce reportage sera à la fois le portrait d'un athlète et d'une personnalité exceptionnelle, le récit d'un tournant dans la longue histoire de l'himalayisme, dont Nims Daï est la figure emblématique, et la description de ses dérives qui mènent chaque année toujours plus de touristes d'altitude fortunés au sommet de l'Everest, malgré la perte de toute dimension de performance sportive de cette ascension et prix de drames humains, certains déjà survenus, et de ceux à venir, redoutés. Dans ce contexte, gravir les plus hauts sommets du monde a-t-il encore un sens ?
Le silence des mots / Gaël Faye, Michaël Stzanke.
Victimes de viol pendant le génocide des Tutsis en 1994, en pleine opération Turquoise dirigée par la France, ces Rwandaises se sont confiées à l'écrivain Gaël Faye, qui vit aujourd'hui à Kigali.
Le business des otages sahéliens / Anthony Fouchard.
Ils seraient entre 300 et 400 otages aux mains des groupes djihadistes qui tentent de contrôler l'immense espace sahélien. Des otages dont on ne parle jamais, car ce sont des hommes ordinaires, maliens, burkinabés ou nigériens dont les groupes islamistes négocient la libération contre quelques milliers d'euros. Cette criminalité est devenue l'un des principaux moyens de financement des djihadistes.
A Madagascar, la vérité reste sur sa faim / Emre Sari.
Tout le monde semble d'accord : la famine dans le Sud de l'île est due au réchauffement climatique. Cela arrange bien le Président qui se trouve déresponsabilisé et invite les médias français tous frais payés pour lui tresser des louanges. Mais en fait, les raisons sont multiples : l'insécurité, les bandits qui pillent les ressources, et surtout, des décennies d'incurie gouvernementale. Alors, pourquoi l'ONU et les ONG s'en tiennent-elles à la version officielle ? Contre-enquête sur une famine.
Poids-lourds anti-mafia / Angelo Mastrandrea.
En Italie, quand les entreprises appartenant à la mafia leur sont confisquées par la justice, elles font souvent faillite. Sauf à Catane, en Sicile, où une poignée de salariés ont réussi à racheter leur société de transport et à la faire revivre, malgré des tonnes d'embûches.
BD - L'île, le millionnaire et les écolos / Bruno Lus et Vincent Sorel.
Depuis qu'il a racheté l'île de Berder, dans le golfe du Morbihan, un millionnaire fait la loi. Michel Giboire, patron de l'immobilier, entend la transformer en complexe hôtelier. Des retraités bretons l'ont fait plier.
Vécu- Charly et le Prince / Haydée Sabéran.
Charly travaillait pour une conciergerie de luxe au service d'un membre de la famille royale saoudienne à Paris. Comme le génie de la lampe, il exauçait tous les voeux du prince. Il a mis en route une Xbox le matin de Noël pour 500 euros de pourboire. Déniché un tigre, un faucon, une table de gynécologue, de la cocaïne. Réalisé des films pornos en streaming. Mais jusqu'où accepter un caprice ? Quand il s'est agi de trouver une prostituée mineure, il a dit stop.
Grand entretien .
Le cinéaste Marco Bellochio par l'écrivain Olivier Guez.
Dossier : REDONNER LA PAROLE AU PEUPLE.
Zadig touche au nerf du pays : son peuple. Comment revenir au plus près de ses priorités ? D'idéal, la démocratie directe et participative est devenue condition de la stabilité du pays. Face à la colère, à la fatigue démocratique, au nihilisme, le président fraichement élu ne parviendra à gouverner qu'à une seule condition : ne plus décider seul.
Ainsi Zadig s'arrête sur la matière vivante et inflammable qu'est la parole du peuple. Une plongée en France avec les cahiers de doléances du Grand Débat National (des documents réclamés, jamais rendus publics), des expériences de conventions citoyennes et des exemples locaux de démocratie participative. Une plongée hexagonale porteuse d'espoir, tout en objectivant qui gagne et qui perd à faire taire la voix populaire.
Le dossier en détails:
- Rendez les doléances ! Entretien avec Didier le Bret et publication inédites de doléances.
- La France en cartes par Hervé le Bras.
- Reportages en France.
O Maubeuge, la démocratique participative dans une des villes les plus pauvres de France.
O Clermont-Ferrand, les assemblées de démocratie directe font salle comble.
O Le singulier rapport à la France des Polynésiens avec leur statut d'autonomie.
O Le portrait de Vikki, 19 ans, étudiante en droit au Havre, ancienne Gilet Jaune et convoyeuse de la liberté.
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Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc... Tout bonnement. Alors rejoignez-nous ! Après vous...
ENQUÊTE. La dématérialisation liée à Internet est un malentendu : toute action connectée implique du béton. Le commerce électronique et les data centers poussent à la construction d'entrepôts et de centres de stockage toujours plus nombreux. Dans le plus grand secret pour éviter toute opposition, ils sont bâtis en colonisant des forêts, des terres agricoles ou des espaces naturels. DOSSIER. Comment l'extrême droite s'est imposée. Grand angle sur la dédiabolisation réussie de l'ancien Front national, à travers les analyses d'experts comme Nicolas Lebourg, Hervé Le Bras ou Julia Cagé. CONVERSATION AVEC JÉRÔME FOURQUET. Passionné de géographie électorale et fin observateur de l'Hexagone, Jérôme Fourquet scrute les divisions et les fractures de notre pays. Et aussi: une rencontre avec Juliette Harmanet, une nouvelle inédite de l'écrivaine Catherine Cusset, un portrait de la femme qui se cache derrière la voix de la SNCF...
À quelques jours de l'élection présidentielle, Zadig interroge le lien étouffant de la capitale avec les territoires de France. À l'épreuve du Covid, les exemples n'ont pas manqué d'un interventionnisme inapproprié, au détriment des citoyens et des besoins réels. De nombreuses initiatives dans les régions prouvent que les rééquilibrages de pouvoir sont salutaires : expérience de monnaie locale, résistances de petits agriculteurs... Inédit : une grande conversation avec le philosophe Bruno Latour, des tribunes de Rokhaya Diallo et Didier Fassin contre l'inégalité, ou encore des textes inédits des écrivains François-Henri Désérable, Agnès Desarthe, Philippe Jaenada, Leïla Slimani.