Filtrer
Support
Éditeurs
Langues
Charles Editions
-
Selon l'article 15 de la Constitution, le président de la République est le chef des armées. De ce fait, politiques et militaires sont institutionnellement liés comme le montrent les auteurs à travers des entretiens, des enquêtes et des reportages.
-
-
-
-
-
On raconte que François Mitterrand, une fois élu, n'avait plus jamais d'argent sur lui. En revanche, Charles de Gaulle tenait à payer lui-même les factures d'électricité de l'Élysée. Avant de diriger la France, Georges Pompidou avait travaillé à la banque Rothschild, tout comme Emmanuel Macron. Et Raymond Barre gérait le budget du pays « en bon père de famille ». Aujourd'hui, alors que différentes affaires (Bygmalion, Cahuzac, Thévenoud, Balkany...) ont pu nourrir la défiance et l'antiparlementarisme sur le thème « ils s'en mettent plein les poches » et nécessiter de nouvelles lois sur la transparence, quel rapport les politiciens entretiennent-ils avec l'argent, aussi bien le leur que celui de la nation ? Et à quel prix peut-il être sain ?
-
-
-
DOSSIER ANIMAUX & POLITIQUE :
- Aymeric Caron : « Le consommateur de viande est un assassin », grand entretien avec fondateur du nouveau parti le REV.
- « Vies de chiens à l'Élysée », une histoire canine de la Vème République.
- Marine Le Pen : « Je suis dépendante aux chats », les Pen père & fille ouvrent à Charles les portes de leur ménagerie.
- La Success Story de L214 éthique & animaux, les fondateurs racontent.
- Les Aventures du Parti animaliste et de leur chaton mignon qui s'affiche sur les panneaux électoraux.
- Le Roman secret des chasses présidentielles.
- Enquête sur le lobby des chasseurs.
- Bestiaire politique : du vol de chien par Cahuzac, au chat Grigri du général de Gaulle, sans oublier les frasques de Nemo.
MAIS AUSSI : Le portrait de Jean-Pierre Chevènement par Florian Philippot - Graine de star : Mathilde Panot :
« Je n'appartiendrai jamais à leur monde » - Christophe Jakubyszyn : « Quand je sens que je pourrais devenir ami avec un politique, je lui joue un sale tour » - Pour qui votez-vous Stéphane Guillon ? - L'interview d'un Charles : Charlotte Lecocq - LCP : une élection en dessous de tout soupçon - « Après la révolution #2 », par Vincent Hein, deuxième épisode d'une nouvelle série littéraire - « Les Politiques à la rue », le street art et la politique.
-
-
« La politique française est en train de changer. L'époque où un homme politique entrait dans la vie publique à 25 ans et en ressortait à 65 ans, couvert d'honneur et de cheveux blancs s'il lui en restait, est terminée. Les responsables politiques doivent pouvoir se poser la question de ce qu'ils feront après, dans une nouvelle vie ». Celle qui parle ainsi est bien placée pour le faire : il s'agit de Roselyne Bachelot qui, après avoir été ministre, est devenue à la surprise générale, animatrice sur la chaîne D8. Alors que le gouvernement s'apprête à faire voter l'interdiction du cumul des mandats, ce numéro de Charles s'interroge sur ce qui se passe lorsqu'on abandonne, volontairement ou non, la vie politique. Que faire après ? Comment gagner à nouveau sa pitance ? Du blues à la réinsertion, de la retraite forcée à la contre-attaque, un dossier sur la précarité des métiers de la politique.
-
« Le problème sérieux, encore une fois, c'est la sexualité dans la politique » expliquait le philosophe Michel Foucault en 1974. Quarante ans plus tard, c'est toujours aussi vrai. Non seulement la vie privée d'une femme ou d'un homme politique peut rattraper et « empoisonner » son personnage public (affaires DSK, Georges Tron, Rachida Dati) ; mais qui plus est, la sexualité se retrouve de plus en plus souvent dans le champ du politique (phénomène des Femen, loi sur l'abolition de la prostitution, mariage pour tous).
Qu'il y a-t-il de politique dans le sexe et qu'il y at- il de sexy dans la politique : Charles se penche sur la confusion des genres.
-
- « François Hollande raconte Jacques Chirac », entretien exclusif avec le président de la République.
- « À Matignon, j'ai eu un Chirac affectueux », rencontre avec un Jean-Pierre Raffarin en grande forme.
- « Le Petit Chirac illustré », le dictionnaire indispensable pour comprendre une vie politique abracadabrantesque.
- « Les Bébés Chirac », témoignages drôles et parfois même émouvants des enfants de la Chiraquie.
- « Zoom sur le président », un document exceptionnel de 30 pages où 6 photographes racontent leur Chirac.
- « Monsieur Loyal », ou le récit d'une « amitié politique » par Jean Tibéri.
- « Le Confident », le making-of de la rédaction des Mémoires de l'ancien président par Jean-Luc Barré.
- « Bernadette Chirac est un personnage politique inouï », interview de Béatrice Gurrey, journaliste au Monde.
- « Chirac reste un mystère total », les confidences de son gendre et ancien collaborateur Frédéric Salat-Baroux.
Mais aussi : Politburo : Pierre Bernard Reymond par André Gattolin ; « Strauss-Kahn, Valls, Le Pen et moi » par Apolline de Malherbe ; « Pour qui votez-vous Serge July ? » ; Graine de star : Robin Reda, le plus jeune maire de France ; L'interview d'un Charles : Carlos Da Silva ; Enquête sur les Young Leaders : le programme franco-américain qui rassemble Alain Juppé, François Hollande et Hillary Clinton ; « Les Porte-Paroles », l'élection présidentielle 2017 racontée par Antoine Bello.
-
Après « Le Gouvernement des écrivains », Charles propose un second numéro avec un grand dossier consacré à la « Violence en politique » sous toutes ses formes : souvenirs de guerre de députés, enquêtes sur les gardes du corps, bastons de militants, flash-ball, insultes, dérapages physiques... En couverture, « L'Assassinat de Marat » par Paul Baudry (1860).
-
"J'en suis venu à la conclusion que la politique est une affaire trop sérieuse pour être laissée aux politiciens" disait Charles de Gaulle en pastichant Georges Clémenceau.
C'est pourquoi nous avons confié le pouvoir à des écrivains. Loufoques, réalistes, rêveurs, poétiques, insoucieux de la dette (quoique), tous ont mis la main au portefeuille, et patiné gaiement sur "les eaux gelées du calcul égoïste" pour reprendre la belle formule de Marx. Ils ont inventé de nouvelles voies, de nouvelles vies dont bien des politiques en panne d'espoir pourraient, ou feraient bien de s'inspirer.
-
-
-
-
On raconte que c'est Carla Bruni qui a fait découvrir The Clash à son époux. Avant elle, Nicolas Sarkozy semblait bien n'écouter que de la variété. Pourtant, l'ancien président de la République fait partie d'une génération qui a grandi avec le rock, la musique la plus politique qui soit, porteuse de rébellions, de contestations, de revendications. Certes, Jean-Paul Huchon est abonné à Rock & Folk et le député Patrick Roy, décédé en 2011, brandissait Rock hard magazine dans l'Hémicycle. Mais quel rôle joue le rock dans l'imaginaire politique français ? Comment la politique a-t-elle utilisé cette musique qui naît en même temps que la Vème République ? Inversement, comment le rock a-t-il mondialement bousculé la classe politique, du mouvement hippie jusqu'au punk, du rap jusqu'au sample ? Rock & politique, une histoire forcément binaire.
-
-
-
« J'ai eu affaire à la justice dès l'âge de 8 ans », Roland Dumas revient sur soixante années de barreau : de la défense des porteurs de valises lors de la guerre d'Algérie à Kadhafi, en passant par Mitterrand, Klaus Barbie ou Le Canard enchaîné.
- « Ni juge ni flic », six journalistes d'investigation témoignent. Avec Pierre Péan, Edwy Plenel, Fabrice Arfi, etc.
- « J'ai vécu avec un policier armé sur mon palier », entretien avec l'ancienne garde des Sceaux, Élisabeth Guigou.
- « Justice & dépendances », enquête sur un couple qui est censé faire chambre à part.
- « Moi, je suis un sale mec », Gilbert Collard raconte son parcours d'avocat médiatique.
- « Prisonniers politiques », José Bové et Alain Krivine font le récit de leurs différents séjours en prison.
Mais aussi : Politburo : « Les chaussures d'Aquilino Morelle » par Mehdi Ouraoui ; « Avec Copé, c'était de la boxe » par Audrey Pulvar ; « Pour qui votez-vous Yann Moix ? » ; Graine de star : Stéphane Tiki ; L'interview d'un Charles : Charles Villeneuve ; « Sarko papillon », une nouvelle de Thomas Legrand qui imagine l'élection présidentielle de 2017 ; « Bertrand Renouvin, le monarchiste de la Vème » ; « George, le papa de Charles », enquête sur la revue politique de JFK Jr. ;
« Monnaies de singe ou de l'utilisation du faux billet en politique ».
-
- Marion Maréchal-Le Pen : « Je ne suis pas une marionnette », la dernière héritière en date de la dynastie Le Pen revient sur son apprentissage en accéléré de la politique auprès de sa tante et de son grand-père.
- Jean-Marie Le Pen : « Mes filles ont toujours pensé comme moi, chacune avec leurs nuances », l'ancien monarque du Front national raconte une famille Le Pen où la politique est une source d'amour et de disputes.
- « Le Petit Charles », enquête sur Charles de Gaulle, petit-fils du général et ancien élu du Front national.
- « Les Seconds Debré », les jumeaux de Michel Debré racontent leur rivalité fraternelle de Matignon au Palais-Bourbon.
- Alain Pompidou : « J'aurais pu être ministre ! », entretien avec le fils de Georges et Claude élu au Parlement européen.
- « Giscard Junior », portrait de Louis Giscard d'Estaing, maire de Chamalières en Auvergne comme son papa.
- « Il reste du rouge dans la réserve ? », portraits de Pierre Laurent N°1 du PCF et de son père Paul, qui en fut le N°2.
- « Roselyne et son frère », les enfants du sénateur Jean Narquin ont fait de la politique ensemble avant que la politique ne les sépare. Récit à deux voix, concordantes ou pas, d'une même histoire.
- « Psychologie des Masse », l'histoire d'une famille dont les fils succèdent politiquement aux pères depuis quatre générations.
Mais aussi : Politburo : « La Petite Flamme de Marie-Laure Harel » par Raquel Garrido ; « Le problème des hommes politiques d'aujourd'hui, c'est leur double discours » par Jean-François Kahn ; « Pour qui votez-vous Marc Dugain ? » ;
Graine de star : Fabien Robert ; L'interview d'un Charles : Charline Vanhoenacker ; « Le Menhir », une nouvelle d'Arnaud Viviant qui imagine l'élection présidentielle de 2017 ; « Quatre dessinateurs engagés » ou quand Cabu, Charb, Tignous et Wolinski mettaient leur coup de crayon au service de la politique.
-