Il s'agit du troisième volume de la série à succès consacrée à l'histoire culturelle des animaux, dans lequel, à travers 80 illustrations et un plan la fois chronologique et thématique, Michel Pastoureau retrace l'histoire symbolique, littéraire, lexicale et artistique d'un animal, en l'occurrence ici celle du corbeau, qui tout à la fois intrigue, fascine ou terrifie. Oiseau noir, célébré par toutes les mythologies, le corbeau européen ne cesse de se dévaloriser au fil des siècles. Si l'Antiquité gréco-romaine loue sa sagesse, son intelligence, sa mémoire, le christianisme médiéval à sa suite le rejette violemment : c'est un oiseau impie qui occupe une place de choix dans le bestiaire du Diable, symbolisant l'incarnation du démon et de toutes les forces du mal. À l'époque moderne, la symbolique du corbeau continue de se dévaloriser, comme l'attestent les fables, les proverbes, les faits de langue et de lexique. Il reste un animal au cri lugubre, un oiseau noir de mauvais augure et devient même, dans un sens figuré, un dénonciateur, un auteur de lettres anonymes. On en a peur car il a partie liée avec l'hiver, la désolation et la mort. De nos jours, cependant, le corbeau semble prendre sa revanche : les enquêtes les plus récentes sur l'intelligence animale montrent que non seulement il est le plus sagace de tous les oiseaux mais qu'il est probablement aussi le plus intelligent de tous.
L'objet que se donne la peinture chinoise est de créer un microcosme, « plus vrai que la Nature elle-même » (Tsung Ping) : ceci ne s'obtient qu'en restituant les souffles vitaux qui animent l'Univers ; aussi le peintre cherche-t-il à capter les lignes internes des choses et à fixer les relations qu'elles entretiennent entre elles, d'où l'importance du trait. Mais ces lignes de force ne peuvent s'incarner que sur un fond qui est le Vide. Il faut donc réaliser le Vide sur la toile, entre les éléments et dans le trait même. C'est autour de ce Vide que s'organisent toutes les autres notions de la peinture chinoise. Riche de sa double culture, François Cheng nous donne les clés d'appréhension et de lecture de la peinture chinoise en la confrontant à notre tradition artistique occidentale.
L'histoire de la couleur bleue dans les sociétés européennes est celle d'un complet renversement : pour les grecs et les romains, cette couleur compte peu et est même désagréable à l'oeil : c'est une couleur barbare.
Or aujourd'hui, partout en europe, le bleu est de très loin la couleur préférée (devant le vert et le rouge).
L'ouvrage de michel pastoureau raconte l'histoire de ce renversement. en mettant l'accent sur les pratiques sociales de la couleur (lexiques, étoffes et vêtements, vie quotidienne, symboles) et sur sa place dans la création littéraire et artistique, il montre d'abord le désintérêt pour le bleu dans les sociétés antiques.
Puis il suit la montée et la valorisation progressives des tons bleus tout au long du moyen age et de l'époque moderne. il insiste notamment sur les enjeux esthétiques, moraux et religieux liés à cette couleur, du xiie au xviiie siècle. enfin il met en valeur le triomphe du bleu à l'époque contemporaine, dresse un bilan de ses emplois et significations et s'interroge sur son avenir.
Parler du bleu c'est nécessairement être conduit à parler aussi des autres couleurs.
Celles-ci ne sont donc pas absentes du livre : le vert et le noir, auxquels le bleu fut parfois assimilé ; le blanc et le jaune, auxquels il a fréquemment été associé ou opposé ; et surtout le rouge, son contraire, son complice et son rival depuis le moyen age.
Aimez-vous le vert ? À cette question les réponses sont partagées. En Europe, une personne sur six environ a le vert pour couleur préférée ; mais il s'en trouve presque autant pour détester le vert, tant chez les hommes que chez les femmes. Le vert est une couleur ambivalente, sinon ambiguë : symbole de vie, de sève, de chance et d'espérance d'un côté, il est de l'autre associé au poison, au malheur, au Diable et à ses créatures. Le livre de Michel Pastoureau retrace la longue histoire sociale, artistique et symbolique du vert dans les sociétés européennes, de la Grèce antique jusqu'à nos jours. Il souligne combien cette couleur qui a longtemps été difficile à fabriquer, et plus encore à fixer, n'est pas seulement celle de la végétation, mais aussi et surtout celle du Destin. Chimiquement instable, le vert a symboliquement été associé à tout ce qui était instable : l'enfance, l'amour, la chance, le jeu, le hasard, l'argent. Ce n'est qu'à l'époque romantique qu'il est définitivement devenu la couleur de la nature, puis celle de la santé, de l'hygiène et enfin de l'écologie. Aujourd'hui, l'Occident lui confie l'impossible mission de sauver la planète.
Pour mieux comprendre le Bouddha, sa vie et son enseignement, Fabrice Midal nous propose de contempler avec lui les plus belles oeuvres d'art qui, d'un bout à l'autre de l'Asie, se sont mises durant des siècles au service de sa spiritualité. Bouddha a vécu il y a plus de 2500 ans, mais les oeuvres d'art qu'il a inspirées témoignent encore de sa présence, de sa sérénité, de son expérience. Une histoire tout à la fois vivante, héroïque et mythique d'un homme qui a renoncé au pouvoir matériel autant que temporel se déroule sous nos yeux.
Ce nouveau volume des « Classiques en images » propose de renouer avec la tradition du poème court japonais à travers une sélection de 60 haïkus exclusivement consacrés aux gestes de la vie quotidienne.
Ce recueil célèbre avec poésie et raffinement la vie de chaque jour avec ses gestes répétitifs (d'écrire une missive jusqu'à enfiler ses chaussettes, se laver les dents...). Ses instants d'oisiveté une fois le travail accompli (allumer la bougie, se peindre les ongles...) ou de joies partagées avec l'enfant (la têtée, le coucher...). La poésie qui partage notre quotidien permet aussi de s'en éloigner sans le fuir.
Ce roman se présente comme le journal du maître d'oeuvre qui, au douzième siècle, édifia en Provence l'abbaye du Thoronet, exemple d'architecture cistercienne. Jour après jour, nous voyons ce moine constructeur aux prises avec la faiblesse des hommes et l'inertie des choses, harcelé par les éléments contraires, et plus encore, par ses propres contradictions. La vie d'un chantier médiéval, les problèmes techniques, financiers ou doctrinaux que posait sa bonne marche, les solutions d'une étonnante modernité qui leur furent données apparaissent ici bien peu conformes à ce Moyen-Âge de convention dont l'image encombre souvent nos mémoires.
Cependant, cette vivante chronique de la naissance d'un chef-d'oeuvre, appuyée à la fois sur des recherches historiques originales et sur une longue expérience du métier de bâtisseur, est aussi une réflexion passionnée sur les rapports du beau et du nécessaire, de l'ordre humain et de l'ordre naturel. Et elle est encore une méditation lyrique sur l'Ordre en lequel tous les ordres ont leur place, et sur cet art qui rassemble tous les autres : l'architecture.
Mais elle est, d'abord, un acte de foi.
Parler de racisme, c'est parler d'une histoire-monde, celle de la xénophobie, de l'antisémitisme, des préjugés, de l'esclavage ou celle de la ségrégation. Mais c'est aussi parler d'images : la caricature, les objets, l'affiche politique ou de propagande, la publicité ou le tract, la photographie ou la peinture... Nombreux sont les supports qui ont véhiculé la représentation de l'« autre » comme un être inférieur, stigmatisé dans sa différence, que celle-ci soit ethnique, religieuse, culturelle ou sexuelle. Ils relèvent d'une culture visuelle qui a contribué pendant des siècles à façonner des relations tronquées, marquées par une violence pouvant aller jusqu'à l'extermination ou au génocide. En analysant près de 250 images, l'historien Pascal Blanchard et l'anthropobiologiste Gilles Boëtsch décryptent les différentes strates de cette haine de l'autre dans une perspective à la fois historique, culturelle et thématique. Car comprendre la construction de ce discours racial sur le temps long, c'est participer à sa déconstruction. Les auteurs donnent aussi la parole à une quinzaine de personnalités : chacune livre ici un éclairage à hauteur de sa propre expérience, de ses convictions et de ses engagements. Une saisissante histoire visuelle et mondiale du racisme pour en maîtriser désormais tous les codes et représentations.
La première partie chronologique est un retour sur le parcours des Beatles, depuis la formation du groupe à la fin des années 1950 (Quarrymen) jusqu'à la séparation au printemps 1970.
La deuxième partie intitulée « Une oeuvre et des hommes » et classée par ordre alphabétique, est consacrée au monde des Beatles : les Beatles eux-mêmes et leurs proches (parents, femmes, enfants, producteurs, ingénieurs du son, musiciens, directeurs artistiques, cinéastes, intellectuels, etc.). On retrouve également les 211 chansons du groupe enregistrées sur les 13 albums, avec pour chacune des analyses, anecdotes diverses, classements dans les hit-parades, les instruments utilisés. Les thèmes majeurs de leurs chansons (amour, politique/actualité, Inde, drogue, etc.) sont évoqués, de même que les interprètes qui ont repris une ou plusieurs de leurs chansons. Mais aussi les personnages nommés dans les chansons des Beatles : Eleanor Rigby, Bungalow Bill, Dr Robert, Lady Madonna, Lovely Rita, Blue Meanies, etc.
La troisième partie « Lieux cultes et Beatles maniacs » concerne tous les lieux qui ont un rapport avec les Beatles. La ville de Liverpool : les clubs (Jacaranda, Cavern, etc.), les rues et les quartiers incontournables (Matthew Street, Strawberry Field, Penny Lane, etc.). La ville de Londres : clubs, maison de disques (EMI), Apple Boutique. Les salles de concert : Olympia (Paris), Shea Stadium (New York), Candlestick Park (San Francisco).
La dernière partie « L'aventure continue » revient sur les Beatles après la séparation.
Depuis son invention, au XIXème siècle, l'automobile a connu un succès incomparable.
Si sa technique révolutionnaire était, au début, l'objet de toutes les fascinations, son esthétique éveilla à son tour les désirs au cours des décennies qui suivirent. La voiture attira alors un nombre sans cesse croissant d'admirateurs - indépendamment de son aspect utilitaire.
Riche de plus de 400 magnifiques photographies en couleurs et de nombreux textes informatifs, cet atlas richement illustré dépeint les automobiles les plus célèbres de l'histoire de l'automobile à travers le monde.
Des premières voitures électriques ou à vapeur de la fin du XIXème siècle aux voitures de sport racées en passant par les robustes voitures familiales des années 1970.
Au fil des pages, le lecteur découvre le monde fascinant des voitures classiques, éclairé par des textes très documentés.
À l'aube de ses quatre-vingts ans, David Hockney a recherché pour la première fois la tranquillité à la campagne, un lieu où observer le coucher du soleil et le changement des saisons, un endroit où tenir à distance la folie du monde. Ainsi, lorsque la Covid-19 et le confinement ont frappé, cela n'a pas changé grand-chose à la vie à La Grande Cour, la ferme normande plusieurs fois centenaire où Hockney avait installé son atelier un an auparavant.
On ne reporte pas le printemps est un manifeste qui célèbre la capacité de l'art à divertir et à inspirer. Il s'appuie sur une multitude de conversations et de correspondances inédites entre David Hockney et le critique d'art Martin Gayford, son ami et collaborateur de longue date. Leurs échanges sont illustrés par une sélection de peintures et de dessins inédits réalisés par l'artiste sur son iPad en Normandie, en lien avec des oeuvres de Van Gogh, Monet, Brueghel et d'autres encore.
Constamment poussé à aller de l'avant par son enthousiasme contagieux et son sens de l'émerveillement, à contre-courant depuis toujours, mais très populaire depuis soixante ans, Hockney ne se préoccupe pas de l'opinion des critiques. Totalement absorbé par son environnement et les thèmes qui le fascinent depuis des décennies: la lumière, la couleur, l'espace, la perception, l'eau, les arbres, il a beaucoup à nous apprendre, non seulement sur notre façon de voir... mais aussi sur notre façon de vivre.
2021 célébrera le centenaire de la naissance d'Yves Montand, et le trentième anniversaire de sa disparition.
Par son parcours et sa personnalité, il incarne une image de la France. Immigré italien, arrivé à Marseille au début des années 1920, Montand partira de rien pour devenir une personnalité majeure du xxe siècle.
Artiste de music-hall complet, révélé au public par la chanson, Montand va assouvir ses rêves d'enfant en devenant l'un des acteurs les plus populaires du cinéma français et une star mondiale de la chanson. Capable de passer avec aisance de L'Aveu à La Folie des Grandeurs, du Cercle rouge à César et Rosalie ; au fait de sa gloire sur un grand écran, Montand n'abandonnera pas pour autant la chanson et restera l'un des rares interprètes à se produire dans des salles combles, que ce soit en France ou au Brésil, au Japon ou aux États-Unis. Au cinéma ou à travers les textes de ses chansons, il n'aura de cesse de passer d'un registre à un autre, avec toujours la même passion.
Un destin hors du commun pour une personnalité hors norme. Sa réussite est le fruit d'un labeur méticuleux et l'exploitation de ses propres inquiétudes : bien faire et faire que l'autre soit bien. Yves Montand ne peut rester silencieux et impassible face aux changements qui s'opèrent dans le monde. Il ne cessera de s'interroger et d'interroger afin de savoir ce qui est le mieux.
C'est l'histoire d'Ivo Livi, devenu Yves Montand, que nous racontent Carole Amiel et Luc Larriba. On entendra bien sûr la voix de Montand et de nombreux témoignages de personnalités l'ayant connu ou ayant travaillé avec lui : Jean-Loup Dabadie, Costa-Gavras, Jean-Paul Rappeneau, Philippe Labro, Bernard Kouchner, Line Renaud, Françoise Hardy, Mathilda May, Ludmila Mikaël, Patrick Bruel, Jean-Louis Livi (son neveu et agent), Antoine Duléry, Michel Jonasz, Michel Sardou...
Places royales et faubourgs brumeux, enceintes, barricades et passages, c'est la trame serrée des quartiers parisiens qui organise cette déambulation proposée aux flâneurs des rues et des livres.
On y voit naître, au rythme des enceintes successives, l'éclairage public, l'enfermement des pauvres et des fous, le numérotage des maisons, les terrasses des cafés et la police de proximité. Du Marais des Précieuses au XIe arrondissement des «branchés», on assiste aux migrations de la mode, à l'apparition de microvilles dans la ville, celles de Scarron, de Des Grieux, de Desmoulins, de Rubempré et de l'autre Lucien, Leuwen, celles de Gavroche, de Baudelaire et de Manet, d'Apollinaire, celles encore de Nadja, de Doisneau ou d'Anna Karina.
Mais les vrais héros du livre, ce sont des anonymes, les architectes du désordre qui, de génération en génération, se sont transmis l'art d'empiler les magiques pavés, au faubourg Saint-Antoine en prairial an III, au cloître Saint-Merri en juin 1832, au clos Saint-Lazare en juin 1848, à Belleville en mai 1871, au quartier Latin en mai 1968, démontrant chaque fois - et plaignons ceux qui croient la série close - la force de rupture de Paris.
Steve McCurry, photographe défendu par les Éditions de La Martinière depuis de nombreuses années (À la recherche d'un ailleurs, 2020 ; Une vie en images, 2018), signe un nouvel opus réunissant, cette fois, ses plus belles photographies consacrées à l'enfance. Sous son regard attentif et bienveillant, les enfants des quatre coins du monde semblent tantôt porter tout le poids de nos sociétés sur leurs frêles épaules, tantôt incarner la promesse farouche d'un avenir meilleur. Leurs portraits, empreints d'innocence et de fraîcheur, parleront à tous les lecteurs.
Arsène Lupin est une des plus grandes figures de la culture populaire et son seul nom est synonyme de "gentleman-cambrioleur".
Ses exploits ont été traduits dans le monde entier, ils ont été adaptés au théâtre, à la télévision, en bande dessinée et au cinéma. Tour à tour voleur et enquêteur, mondain et gouailleur ou torturé et calculateur, formidable archétype du bandit au grand coeur et de l'homme élégant en toutes circonstances, Arsène Lupin exerce depuis plus d'un siècle une fascination toujours d'actualité. Révélé en 1905 sous la plume de Maurice Leblanc, Arsène Lupin est devenu un véritable mythe, celui d'un génie trouble qui a promené son élégance depuis la Belle Epoque jusqu'à l'orée de la Seconde Guerre mondiale, en passant par les Années Folles.
C'est ce parcours mouvementé que nous avons voulu faire redécouvrir, sous la forme d'une véritable biographie. Depuis sa naissance en 1874 jusqu'à sa disparition au début des années 1940, une vie de légende, où se croisent également les figures de Sherlock Holmes, du cambrioleur anglais Raffles, de la comédienne Georgette Leblanc, de son frère Maurice Leblanc bien sûr, mais encore de l'empereur Guillaume II, d'Oscar Wilde, de Georges Clemenceau, de Marcel Proust ou de Claude Monet.
La Belle Epoque et au-delà : Arsène Lupin, toute une existence.
Vivienne Westwood est l'une des créatrices les plus provocantes et les plus influentes au monde : « l'unique raison de mon engagement dans la mode est de détruire le mot « conformisme » », a-t-elle un jour déclaré. Depuis 40 ans, elle ne cesse de bouleverser, transformer et défier le monde de la mode. Cet ouvrage rassemble ses créations les plus singulières depuis son premier défilé en 1981, ainsi que celles imaginées avec son mari et collaborateur de longue date, Andreas Kronthaler. Le duo de créateurs signe ici les textes de leurs propres biographies, tandis qu'Alexander Fury présente chaque collection. L'ensemble offre une opportunité rare de pénétrer dans les coulisses d'une maison de couture hautement créative.
Avec plus de 1 100 photographies, ce trésor d'inspirations est une référence indispensable pour tous les professionnels de la mode et les admirateurs de Vivienne Westwood.
Dans la collection « Défilés » : Chanel, Dior, Louis Vuitton, Yves Saint Laurent, Prada.
La première présentation complète des collections femme de Versace depuis les débuts de Gianni Versace, en 1978, à travers les images originales des défilés.
Symbole de glamour et de luxe dans le monde entier, la petite maison familiale fondée par Gianni Versace est devenue, au fil du temps, l'un des empires de la mode les plus puissants. Après l'assassinat de Gianni, en 1997, sa soeur Donatella prend sa suite. La nouvelle directrice artistique passe avec succès le cap du XXIe siècle et ne cesse, depuis, d'écrire la légende d'une marque admirée par un public toujours plus nombreux. L'ouvrage retrace l'épopée de cette maison de mode audacieuse et flamboyante. Introduction, biographies et notices des collections sont signées du journaliste de mode Tim Blanks.
Avec plus de 1200 photographies emblématiques, ce trésor d'inspirations est une référence indispensable pour les professionnels de la mode et les admirateurs de Versace.
L'image romantique de l'artisan seul dans son atelier a laissé la place à celle du créateur au travail dans son laboratoire, une fonderie ou même une usine. L'artisanat a évolué, combinant travail manuel et technologie, offrant ainsi des possibilités quasiment illimitées aux designers de créer des meubles uniques pour les galeries, les expositions et ou des clients sophistiqués. Cette synthèse de l'art, du design et de la technologie a donné naissance à une multitude de pièces de collection très recherchées.
Cet aperçu complet du mobilier contemporain célèbre les réalisations d'une sélection internationale de designers produisant des oeuvres d'expression artistique individuelle que l'on trouve aussi bien dans des musées que chez des particuliers.
Présentant plus de 400 pièces, des tables et des chaises aux finitions impeccables, fabriquées à partir de matériaux naturels, au mobilier expérimental à la frontière entre art et artisanat, cet ouvrage est une première.
Structuré par type d'objets et par créateur, le livre présente également quelques lieux (studios, usines) dans lesquels ces meubles uniques sont fabriqués, ainsi qu'une sélection d'intérieurs majeurs montrant des meubles de collection in situ.
La personnalisation et l'exclusivité dans le design sont de plus en plus prisées dans un monde qui revient aux valeurs de l'artisanat authentique. Ce panorama richement illustré séduira aussi bien les connaisseurs de design que les collectionneurs et toute personne intéressée par la conception de meubles sur mesure.
Cet ouvrage somptueusement illustré détaille le matériel et les techniques liés au grossissement (objectifs, bonnettes, etc.) et à la lumière, qu'elle soit naturelle, avec flash intégré ou flash cobra. Il propose également un rappel sur les notions de base de la photographie, telles que la composition et le cadrage, et des conseils de prise de vue pour chaque sujet (diptères, coléoptères, arachnides, gouttes d'eau, fleurs...) Vous y trouverez aussi de nombreuses astuces "terrain": attitudes à adopter, comportement naturaliste...
Jeune photographe autodidacte, Clément Wurmser est né à Nancy en 1981. Passionné d'images depuis toujours, il se voit offrir en 2003 son premier appareil photopour fêter son diplôme d'ingénieur en informatique. Quelque peu " touche àtout " à ses débuts, il s'oriente petit à petit vers la macro. Ses sujets préférés deviennent les insectes et autres araignées, les fleurs et les gouttes d'eau. Bien qu'amateur, Clément participe à de nombreux festivals animalierscomme le Festival Photo Nature de Namur, lors duquel deux de ses photos ont étéprimées. On a pu également voir ses clichés dans Chasseur d'images et Image &Nature.
Une histoire du slip est avant tout une histoire de la représentation de l'homme et de son intimité vivante et fantasmatique à travers le monde et les temps du monde. Une histoire de son ingéniosité, de son imagination, de sa poésie et de son érotisme, en parcourant tous les territoires avec la variété de ses inhibitions, exhibitions, coutumes, végétaux et animaux, paysages, températures et tempéraments.
L'ouvrage est composé d'un prologue (La grappe) et de 7 parties (La feuille. La coquille. Le noeud, La peau, L'étoffe, La poche, Le slip). Chacune d'entre elles traite d'une matière, d'une texture. Les petits textes, sous la forme de proses poétiques, qui ouvrent chaque partie, scandent une série d'images non chronologiques, mais plutôt thématiques brassant toutes les époques, cultures et tous les continents. Ces illustrations légendées inscrivent ainsi un contrepoint plus documentaire.