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Sans-papiers, mais pas sans droits
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Octobre 2019
- 9791091800600
Sans-papiers, mais pas sans droits s'adresse aux sans-papiers et aux personnes qui les accompagnent.
Contrairement à ce que l'on croit trop souvent, les étrangers et étrangères en situation irrégulière ou précaire sur le territoire français ont des droits fondamentaux.
Cette note pratique recense et explicite ces droits.
Elle est constituée de fiches synthétiques et thématiques réunies par catégorie de droits ou de thèmes : Citoyenneté (aide aux sans-papiers, contrôle d'identité, droit d'association et droit syndical), Santé (assurance maladie, AME, dispositif soins urgents et vitaux, lieux de soins, IVG), Vie quotidienne (domiciliation, compte bancaire, services postaux, impôt, aide juridictionnelle, culture), Couples (mariage, pacs, concubinage), Enfants (naissance et reconnaissance, ASE, PMI, école, bourses scolaires, cantine et activités périscolaires), Aides diverses (collectivités locales, transports), Hébergement, Logement, Travail (accident du travail, emploi illégal, régularisation, conseil de prud'hommes).
Sans-papiers, mais pas sans droits a aussi pour vocation d'inciter à faire valoir ces droits, notamment au moyen d'actions collectives, à ne pas s'arrêter aux éventuels risques encourus et, surtout, à ne pas céder aux abus commis, notamment par les autorités administratives.
Cette publication est une invitation à un combat citoyen. -
La nationalité française ; les textes (3e édition)
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 19 Février 2010
- 9782914132732
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Liberté de circulation ; un droit, quelles politiques ?
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 20 Décembre 2010
- 9782914132787
La liberté de circulation n'est plus une simple revendication de groupes militants isolés. Nombre de chercheurs et d'organisations internationales appellent à « lever les barrières » et à prendre acte des conséquences funestes des politiques actuelles. Dans un contexte économique fondé sur la circulation des marchandises, des capitaux et de l'information, la position qui vise à cantonner les êtres humains n'est pas viable. Elle ne pourra survivre ni aux coups de boutoirs de celles et ceux qui la combattent au risque de leur vie (les milliers de morts de la « guerre aux migrants » qui dure depuis deux décennies), ni à la prise de conscience que l'emmurement du monde est une fuite en avant. Loin des prédictions des Cassandre de la lutte contre l'immigration, se dessine un monde moins fracturé, plus solidaire, plus mobile dans lequel les droits fondamentaux seraient mieux préservés.
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Les travailleurs 2trangers saisonniers
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 6 Juillet 2010
- 9782914132749
Depuis les années 1970, des contingents de travailleurs étrangers fournissent chaque année une main-d'oeuvre indispensable aux activités économiques saisonnières de la France, notamment dans le secteur agricole. Jusqu'en 2006, ils revenaient chaque année pendant des dizaines d'années mais la durée de leurs « contrats OMI » était limitée à six mois (ou à huit mois) par an.La réforme législative du 24 juillet 2006 a créé une carte de séjour temporaire d'une durée de validité de trois ans mention « travailleur saisonnier » qui autorise son titulaire à séjourner et travailler en France six mois par an. Cependant rien d'essentiel n'a changé : le statut de travailleur saisonnier reste destiné à attirer en France une main-d'oeuvre captive définitivement dépourvue du droit de s'y installer et d'évoluer professionnellement.Ce cahier juridique présente d'abord le nouveau dispositif de l'entrée et du séjour en France du travailleur étranger saisonnier et analyse les interprétations qu'en donne l'administration. Il explore les droits auxquels les saisonniers peuvent aspirer : droit à un titre de séjour moins précaire (salarié, vie privée et familiale), droit à une requalification de leur contrat de travail en CDI, droit à la protection sociale.Les trois associations qui éditent cet ouvrage mènent ensemble, depuis plusieurs années, un combat pour les droits des travailleurs étrangers saisonniers qui s'appuie principalement sur la défense syndicale et juridique des saisonniers agricoles dans les Bouches-du-Rhône. Le texte qui suit reflète cette action collective : l'analyse des textes réglementaires y est confrontée aux pratiques contestables de l'administration et aux stratégies élaborées pour les contester.
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Les droits des étudiants étrangers en France
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 4 Octobre 2005
- 9782914132411
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La scolarisation des enfants étrangers
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Juin 2007
- 9781914132506
"Le droit à l'école est un droit fondamental. Les refus d'inscription sont des pratiques illégales. Certains élus tentent de refuser de scolariser des enfants étrangers en subordonnant leur inscription à des contrôles tâtillons (contestation de la réalité du domicile des parents dans la commune, de l'exercice de l'autorité parentale) ou à des exigences illégales (titre de séjour des parents, certificat médical prouvant le regroupement familial de l'enfant). Certains maires ont même été jusqu'à signaler l'irrégularité du séjour des parents aux préfets ou aux procureurs de la République. Or, la loi ne permet en aucun cas au maire de contrôler la régularité du séjour d'un étranger.
Il est donc indispensable de rappeler les textes internationaux et les textes de droit interne qui érigent le droit à l'éducation en droit fondamental, de citer à nouveau les nombreuses instructions ou réponses administratives qui rappellent l'existence de ce droit, et d'exposer les arguments et les voies de recours permettant de le faire effectivement respecter."
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La demande d'asile des mineures et mineurs isoles etrangers
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Juin 2022
- 9782382871362
Le droit d'asile est un droit fondamental : il n'est pas nécessaire d'être majeur pour déposer une demande. Le ou la mineure qu'elle soit isolée ou accompagnée de sa famille peut solliciter une protection au titre de l'asile. Mais peu de jeunes sont informés de ce droit.Les mineures et les mineurs isolés étrangers (MIE), ou non accompagnés (MNA), n'ont pas de représentants légaux sur le territoire ou d'adultes désignés pour les prendre en charge durablement. Du fait de leur isolement, ils sont en danger et doivent, à ce titre, bénéficier du dispositif de protection de l'enfance confié aux départements et à leur service spécialisé, l'Aide sociale à l'enfance (ASE). La mise en place de mesures de protection de l'enfance ne fait pas obstacle à ce que leur soit accordée une protection au titre de l'asile s'il existe des risques de persécutions ou de menaces graves dans leur pays d'origine. Ainsi, la protection au titre de l'asile vient s'ajouter à la protection prévue pour les enfants en danger ; elle ne la remplace pas.Il est impératif de s'interroger sur l'opportunité de déposer une demande d'asile, que la ou le mineur soit pris en charge ou non par l'ASE. Il est également fondamental d'expliquer à ces jeunes ce qu'est l'asile et ce qu'implique la reconnaissance d'une telle protection. En effet, déposer une demande d'asile a des conséquences directes sur les relations avec les autorités du pays d'origine : une personne qui sollicite l'asile n'est pas censée entrer en contact avec ces autorités, en particulier pour obtenir des documents d'identité ou d'état civil. Une telle démarche constituerait un acte d'allégeance envers ces mêmes autorités et nuirait à la demande d'asile.Cette publication tente donc d'identifier les principales situations dans lesquelles un ou une mineure a tout intérêt à solliciter l'asile pendant sa minorité ainsi que les protections auxquelles il ou elle peut prétendre. Elle présente des différentes étapes de la procédure d'asile et précise les conditions dans lesquelles le ou la mineure pourra obtenir un titre de séjour, exercer ses droits ou faire venir des membres de sa famille. Ce cahier juridique ne traite pas de la demande d'asile effectuée en zone d'attente ou en centre de rétention, ni de la demande d'apatridie.
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Demander l'asile en france, 3e edition
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Mai 2021
- 9782382871102
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Les droits des citoyens et des citoyennes de l'ue et de leur famille 5e ed
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Octobre 2014
- 9791091800167
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L'assignation a residence des personnes etrangeres
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Avril 2019
- 9791091800556
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« Le terme apatride désigne une personne qu'aucun État ne considère comme son ressortissant par application de sa législation », énonce simplement la Convention de 1954 relative au statut des apatrides. Si l'on s'en tient au nombre de personnes reconnues apatrides en France, le phénomène pourrait sembler marginal ou renvoyer à un autre temps où on le considérait comme une anomalie du droit international. Mais il n'en n'est rien puisqu'aujourd'hui, des millions de personnes à travers le monde sont apatrides - dont 600 000 en Europe...
Si l'on interroge la permanence de l'apatridie, on en vient vite à la conclusion qu'elle ne peut être engendrée que par les États qui privent leurs ressortissant·es de leur droit à une nationalité, pourtant consacré par les textes internationaux, par des lois et mesures de retrait ou de déchéance de nationalité, ou des obstacles administratifs dressés à dessein pour dissuader certains groupes de se voir reconnaître la nationalité de leur État de résidence, par les entraves mises à l'enregistrement des naissances notamment. Or, les apatrides sont particulièrement vulnérables à l'exploitation et à la discrimination : l'absence de documents d'identité les empêchent en effet de jouir des protections et des droits que les pays accordent normalement à leurs citoyen·nes. -
Travailler apres des etudes en france : le changement de statut 2e edition
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 30 Octobre 2022
- 9782382871461
En principe, rien ne s'oppose à ce qu'une étudiante ou un étudiant étranger sollicite, à la fin de ses études, un titre de séjour ouvrant droit au travail. Cependant ce changement de statut est loin d'être facile à obtenir. La doctrine des pouvoirs publics en la matière est stricte et rappelée de manière constante : le titre de séjour mention « étudiant » n'autorisant que de façon limitée le travail(...)
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La demande d'asile et les conditions matérielles d'accueil (CMA), 2e édition
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Décembre 2023
- 9782382871805
La directive européenne « Accueil » établit que les conditions matérielles d'accueil « visent à garantir un niveau de vie digne » et « assurent aux demandeurs un niveau de vie adéquat qui garantisse leur subsistance et protège leur santé physique et mentale ». En principe, les conditions matérielles d'accueil (CMA) doivent permettre aux personnes demandant l'asile en France d'obtenir un hébergement et une allocation durant toute la procédure d'examen de leur dossier. Mais en pratique, les dispositions mises en place par l'État français ne garantissent aucunement un niveau de vie « digne ».
D'autant plus que l'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii), organisme sous tutelle du ministre de l'intérieur, chargé de mettre en oeuvre l'accès aux CMA, utilise régulièrement des motifs fantaisistes, ou applique les motifs prévus par la loi de façon abusive pour restreindre le droit aux CMA des personnes sollicitant l'asile. Si bien qu'elles sont très nombreuses à ne bénéficier d'aucun hébergement ni de la moindre aide financière pendant toute la durée de la procédure. Plusieurs recours contentieux existent pour tenter de contrer ces pratiques de l'Ofii. -
Étrangers sous écrou
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Octobre 2023
- 9782382871782
À rebours du fantasme bien tenace d'une « sur-délinquance », la surreprésentation des étrangers dans les prisons dévoile une économie de la peine discriminatoire. D'ailleurs, les statistiques officielles l'attestent : de profondes inégalités subsistent, selon que les personnes sont françaises ou étrangères, dans l'application de la loi, et ce, à toutes les étapes de la chaîne pénale. Ainsi ces dernières ne sont-elles pas seulement envoyées davantage en prison, elles le sont aussi pour des durées plus longues et en sortent moins vite. Pourtant, l'arsenal juridique prévoit un certain nombre de dispositifs permettant d'aménager les peines des personnes étrangères détenues, avec ou sans papiers. Mais leur condition carcérale, loin de corriger ces discriminations, en créé de nouvelles.
Surpénalisées, les personnes étrangères incarcérées, qu'elles soient ou non mineures, sont sous-protégées. Et si, derrière les barreaux, rien n'interdit aux sans-papiers détenus de travailler, la réforme du travail pénitentiaire prévoit une nouvelle dégradation de leurs droits : ils ne seront bientôt plus couverts par la législation professionnelle en cas d'accident du travail. En outre, la marge d'appréciation exorbitante dont disposent les administrations préfectorale et pénitentiaire entrave l'accès au séjour et à l'asile, a fortiori vu l'emprise du motif de la « menace à l'ordre public » et la rareté des dispositifs d'accès aux droits en détention. Comment saisir le tribunal administratif depuis une cellule verrouillée, sans accès à internet, sans téléphone, bref sans possibilité de communiquer avec le monde extérieur, le tout en moins de 48 heures pour contester une obligation de quitter le territoire ? La collaboration entre les administrations préfectorale et pénitentiaire a fait de la prison l'antichambre de l'expulsion des étrangers hors du territoire national. Le continuum entre la détention et la rétention illustre ainsi d'une instrumentalisation de la finalité de l'incarcération, bien éloignée de l'objectif affiché d'une « contribution à l'insertion ». Loin des regard, la machine à expulser tourne à pleine turbine.
Face à la primauté du tout-carcéral, de nouveaux combats politiques par le droit restent à engager. C'est un enjeu de justice, de dignité et d'égalité. -
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Covid partout, justice nulle part
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Décembre 2020
- 9782382870464
Au début de l'année 2020, la pandémie de Covid-19 a touché l'ensemble des continents et mis un coup d'arrêt brutal à l'économie mondiale et aux circulations globalisées. Les gouvernements ont décidé dans l'urgence la fermeture de leurs frontières dans un mouvement inédit de repli national. Pourtant, l'expérience des grandes épidémies du XIXe siècle montre que les virus se moquent des frontières : ils se propagent même à l'intérieur de territoires emmurés, comme l'ont prouvé les forts taux de contamination, de prévalence et de décès dans les espaces surpeuplés où habitent les plus pauvres, parmi lesquels les étrangers abandonnés à leur sort. Aux contrôles des déplacements, qui ont contraint les sans-papiers à se terrer, se sont ajoutées des mesures de contrôle des mouvements migratoires... parfois levées dans l'urgence afin de tenir compte du rôle primordial que ces populations jouent dans l'économie.
Alors que la pandémie se poursuit, l'avalanche de mesures restrictives des libertés adoptées dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire inquiète. On peut aussi se demander ce qu'il adviendra de ces « premiers de corvée » auxquels la pandémie, malgré les appels répétés, n'a ouvert aucune perspective de régularisation. -
La demande d'asile à l'épreuve de "Dublin II"
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 20 Décembre 2010
- 9782914132770
Lorsqu'un exilé sollicite la reconnaissance de son statut de réfugié par la France, celle-ci peut se dispenser de l'examen de son dossier si un autre État européen en est également « responsable ».
Dans le cadre de la politique d'asile commune de l'Union européenne, l'examen d'une demande d'asile est en effet à la charge d'un seul État membre. Un système « Dublin II » épaulé par un fichier « Eurodac » établit les règles de la détermination de l'État « responsable » et du transfert du demandeur d'asile. Des réfugiés risquent ainsi d'être systématiquement remis à des États par lesquels ils ont transité, tels que la Pologne ou la Grèce, malgré des atteintes aux droits des demandeurs d'asile constatées par de nombreuses institutions. En vertu d'une clause de souveraineté, chaque État membre peut cependant choisir d'examiner une demande d'asile qui relève de la compétence d'un autre État. Ce cahier juridique présente d'abord les mécanismes européens du système « Dublin II » puis les droits, en France, du demandeur d'asile au cours de la procédure « Dublin ». Les moyens de recours contentieux et les jurisprudences récentes sont ensuite exposés. Des violations de la Convention européenne des droits de l'homme dans le contexte de « Dublin II » ont également pu être invoquées et condamnées par la Cour de Strasbourg.
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Contrôles d'identité et interpellations d'étrangers
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Mars 2010
- 9782914132725
La loi française évidemment n'autorise pas les contrôles au faciès, et même les condamne expressément. Pourtant beaucoup de contrôles d'identité effectués sur la voie publique sont illégaux. La circulaire du 21 février 2006 relative aux conditions de l'interpellation des étrangers en situation irrégulière encourage en réalité, sous couvert d'un juridisme de façade, la police à agir en marge du droit. Il n'est pas toujours facile de savoir comment réagir efficacement pour dénoncer ces comportements de policiers ou d'autres agents de sécurité.
Dans cette note pratique, on s'intéressera essentiellement aux hypothèses où, lorsqu'il vise des étrangers, le contrôle d'identité ou le contrôle de la régularité du séjour permet de découvrir l'absence de papiers et débouche sur une mesure d'éloignement du territoire français ou sur une procédure correctionnelle. La note explique comment obtenir le respect du droit et annuler les procédures d'interpellation illégales quand une personne est poursuivie pour entrée et/ou séjour irrégulier ou est mise en rétention en attendant l'exécution de la mesure d'éloignement prise à son encontre.
La note évoque enfin les possibilités d'action ouvertes à tous ceux qui sont témoins de contrôles illégaux afin de lutter contre ces pratiques discriminatoires. Il s'agit donc également de dénoncer les pratiques policières dans un contexte où les libertés individuelles de tous sont menacées.
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Les droits des citoyens de l'UE et de leur famille
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Mars 2010
- 9782914132718
Cette publication fait le point sur l'ensemble des dispositions qui concernent l'accès au territoire français, le séjour, le travail et l'éloignement des ressortissants communautaires et des pays membres de l'EEE, et de leur famille.
On y trouvera une analyse critique des textes applicables et une présentation des principales voies de recours utilisables par les citoyens de l'Union, les assimilés (ressortissants de Norvège, Islande, Liechtenstein et Suisse), ou les membres de leur famille, qui veulent faire respecter à leur égard l'application du droit communautaire.
Concernant seulement les droits des citoyens de l'Union - ou assimilés - et des membres de leur famille (d'autres cahiers juridiques étant consacrés aux étrangers non communautaires), il est à jour de la législation européenne et nationale en vigueur ainsi que de la jurisprudence de la Cour de Luxembourg.
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L'étranger(e) et son avocat(e)
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 15 Septembre 2010
- 9782914132763
Faire appel à un avocat ou à une avocate est de plus en plus souvent nécessaire aux étrangers pour faire reconnaître et défendre leurs droits, dans un contexte marqué par une réglementation mouvante et par les trop fréquentes irrégularités des pratiques administratives. Cette publication a pour objectif d'expliquer ce qu'un client est en droit d'attendre de son avocat - quel est son rôle exact, quelles sont ses obligations - et de répondre à des questions qui se posent dans toutes les permanences juridiques. Sur quels critères doit se faire le choix d'un avocat ? Quels sont les gages d'une bonne relation client-avocat ? Que faire en cas de conflit entre un étranger et son avocat, ou en cas de négligence ou de faute de l'avocat ?
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Statut des algeriennes et des algeriens en france
Gisti
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 31 Août 2020
- 9791091800747
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Les droits des étudiant(e)s étranger(e)s en France
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 30 Mars 2011
- 9782914132817
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Les jeunes et la nationalité françise
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 4 Octobre 2005
- 9782914132404
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Les enfants entrés hors regroupement familial ont droit aux prestations familiales
Collectif
- Groupe D'Information Et De Soutien Des Immigres
- 1 Juin 2005
- 9782914132374