Le 11 mai 330, les cérémonies qui accompagnèrent la fondation par Constantin de la ville à laquelle il donne son nom marquent la naissance du futur Empire que nous appelons byzantin, mais que les empereurs et leurs sujets ont toujours conçu comme romain. Cet empire se maintient pendant plus d'un millénaire, jusqu'à la chute de Constantinople en 1453.
Cet ouvrage retrace l'histoire politique, sociale et économique de Byzance et nous montre comment l'Empire d'Orient, au-delà des discours officiels prônant l'immuabilité des institutions, a su s'adapter, recherchant sans cesse l'équilibre complexe entre une nécessaire autonomie locale et une cohésion centralisatrice.
L'Empire romain d'Orient a vu le jour sur les rives du Bosphore, lorsque Constantin, premier empereur chrétien, fonda la nouvelle Rome, Constantinople. Pendant un millénaire, dans la continuité avec les institutions romaines, une civilisation brillante s'y est développée, au carrefour de l'Europe et de l'Asie.
Elle a ainsi participé à la formation de l'Europe moderne, en conservant un État qui, ailleurs, s'était décomposé, en transmettant le droit, en maintenant tant bien que mal des relations avec le monde méditerranéen chrétien et musulman. Mais surtout, malgré les crises, elle a forgé un modèle politique, celui de la monarchie de droit divin.
Byzance a laissé un triple héritage, temporel, qui passa aux Turcs, spirituel, qui resta aux peuples orthodoxes, et intellectuel, dont profita surtout l'Occident. Politique, militaire, économique, religieuse, intellectuelle et artistique, c'est toute la richesse de cet Empire que s'attache à présenter ici l'auteur.
La collection "Nouvelle Clio", fondée par Robert Boutruche et Paul Lemerle, est aujourd'hui dirigée par Jean Delumeau, membre de l'Institut, professeur honoraire au Collège de France, et Claude Lepelley, professeur à l'Université de Paris X-Nanterre. Les livres de cette collection sont non seulement des manuels d'histoire destinés aux étudiants mais aussi des ouvrages de références pour les universitaires, historiens ou littéraires
Jean-Claude Cheynet est professeur d'histoire byzantine à l'université de Paris IV-Sorbonne. Le 11 mai 330, les cérémonies qui accompagnèrent la fondation par Constantin de la ville à laquelle il donne son nom marquent la naissance du futur Empire que nous appelons byzantin, mais que les empereurs et leurs sujets ont toujours conçu comme romain. Cet empire se maintient pendant plus d'un millénaire, jusqu'à la chute de Constantinople en 1453.
Cet ouvrage retrace l'histoire politique, sociale et économique de Byzance et nous montre comment l'Empire d'Orient, au-delà des discours officiel prônant l'immuabilité des institutions, a su s'adapter, recherchant sans cesse l'équilibre complexe entre une nécessaire autonomie locale et une cohésion centralisatrice.
2e éditionL'empire romain d'Orient a vu le jour sur les rives du Bosphore, lorsque Constantin, premier empereur chrétien, fonda la nouvelle Rome, Constantinople, plus tard appelée Byzance. Pendant un millénaire, marquant la remarquable continuité de l'État romain, une civilisation s'y est développée.
Au carrefour de l'Europe et de l'Asie, et affirmant un exceptionnel esprit d'adaptation aux nouvelles conditions stratégiques par des réformes permanentes, Byzance a influencé aussi bien ses voisins que ses héritiers, la Grèce et les pays balkaniques, la Russie et les pays slaves, les pays du Caucase, la Géorgie et l'Arménie. Elle a ainsi participé à la formation de l'Europe moderne. En conservant un État qui, ailleurs, s'était décomposé, en transmettant le droit, à l'origine de la renaissance des études juridiques en Occident, en maintenant tant bien que mal des relations avec le monde méditerranéen chrétien et musulman. Mais surtout, malgré les crises, en forgeant un modèle politique, celui de la monarchie chrétienne de droit divin.
L'Empire byzantin a laissé un triple héritage, temporel, qui passa aux Turcs, spirituel, qui resta aux peuples orthodoxes, et intellectuel, dont profita surtout l'Occident.
Politique, militaire, économique, religieuse, intellectuelle et artistique, c'est toute la richesse de cet Empire que s'attache à présenter ici Jean-Claude Cheynet.
Professeur à l'université de Paris-Sorbonne et à l'Institut Catholique de Paris, Jean-Claude Cheynet mène des recherches sur l'histoire politique et sociale de l'Empire byzantin et sur la sigillographie byzantine. Il a publié notamment Pouvoir et contestations à Byzance (963-1210).
L'Empire romain d'Orient (330-718). L'Empire romain devient chrétien. L'Empire sous Justinien. Le temps des doutes. L'Empire médiéval (718-1204). L'expansion byzantine. Les structures du pouvoir. Économie et société (VIIIe s. - XIIIe s.). L'Église et le renouveau intellectuel. De l'Empire à la Ville-État (1025-1453). Le défi de l'étranger (1025-1180). La fin des ambitions impériales (1180-1328). L'échec d'une Byzance européenne.
La collection du Docteur Savvas Kofopoulos est la plus grande collection privée au monde, qui a aujourd'hui dépassé les 2650 sceaux. Ce premier volume comprend les sceaux impériaux, ceux de l'administration centrale, de l'administration provinciale et ceux des eunuques de la cour, soit 679 entrées, représentant environ 750 sceaux, en tenant compte des pièces parallèles.
Le 11 mai 330, les cérémonies qui accompagnèrent la fondation par Constantin de
la ville à laquelle il donne son nom marquent la naissance du futur Empire que
nous appelons byzantin, mais que les empereurs et leurs sujets ont toujours
conçu comme romain. Cet empire se maintient pendant plus d'un millénaire,
jusqu'à la chute de Constantinople en 1453. Cet ouvrage retrace l'histoire
politique, sociale et économique de Byzance et nous montre comment l'Empire
d'Orient, au-delà des discours officiels prônant l'immuabilité des
institutions, a su s'adapter, recherchant sans cesse l'équilibre complexe entre
une nécessaire autonomie locale et une cohésion centralisatrice. Jean-Claude
Cheynet est professeur d'histoire byzantine à l'Université de Paris IV-
Sorbonne.
Les vingt-sept articles rassemblés dans cet ouvrage, parus entre 1986 et 2004, ont été regroupés en quatre chapitres : points de méthode ; société et économie ; mentalités ; recherches prosopographiques. Un important index prosopographique (plus de 40 pages) permet d'effectuer une recherche rapide. On y trouve une introduction à la sigillographie byzantine et à ses choix iconographiques, des remarques sur le culte des reliques et des saints, le rôle des femmes, la gestion des biens publics ou le ravitaillement de Constantinople d'après les sceaux et enfin, des articles consacrés à de grandes familles byzantines, dont on peut reconstituer l'histoire à partir de leurs sceaux, sur plusieurs générations.
Un tableau complet de l´Empire romain d'Orient, à travers ses spécificités politiques, économiques, militaires, religieuses et intellectuelles. Au carrefour de l'Europe et de l'Asie, et affirmant un exceptionnel esprit d'adaptation aux nouvelles conditions stratégiques par des réformes permanentes, Byzance a influencé aussi bien ses voisins que ses héritiers. Elle a ainsi participé à la formation de l'Europe moderne. Des documents et des annexes complètent l'exposé.
Le 11 mai 330, les cérémonies qui accompagnèrent la fondation par constantin de la ville à laquelle il donne son nom marquent la naissance du futur empire que nous appelons byzantin, mais que les empereurs et leurs sujets ont toujours conçu comme romain.
Cet empire se maintient pendant plus d'un millénaire, jusqu'à la chute de constantinople en 1453. cet ouvrage retrace l'histoire politique, sociale et économique de byzance et nous montre comment l'empire d'orient, au-delà des discours officiels prônant l'immuabilité des institutions, a su s'adapter, recherchant sans cesse l'équilibre complexe entre une nécessaire autonomie locale et une cohésion centralisatrice.
L'histoire de Byzance est jalonnée de multiples crises, qui ont renforcé l'image négative de l'Empire chez les historiens occidentaux.
Cet ouvrage est consacré aux diverses formes de la compétition politique, rivalités pour le trône ou luttes pour l'autonomie régionale. Il cherche à les rendre intelligibles en analysant les moyens d'action de l'aristocratie, principal agent des troubles : implantations provinciales, réseaux familiaux, solidarités militaires ou liens de service. Le clivage entre civils et militaires - traditionnellement évoqué mais rarement pertinent - est ainsi remis en cause, alors que le poids de grands clans régionaux importe davantage.
Il apparaît également que de véritables équipes alternaient au pouvoir, notamment au XIe siècle, et que les provinces restaient fidèles tant que la protection impériale compensait, aux yeux des populations, le versement de l'impôt.
L'Empire romain d'Orient a vu le jour sur les rives du Bosphore, lorsque Constantin, premier empereur chrétien, fonda la nouvelle Rome, Constantinople. Pendant un millénaire, dans la continuité avec les institutions romaines, une civilisation brillante s'y est développée, au carrefour de l'Europe et de l'Asie.
Elle a ainsi participé à la formation de l'Europe moderne, en conservant un État qui, ailleurs, s'était décomposé, en transmettant le droit, en maintenant tant bien que mal des relations avec le monde méditerranéen chrétien et musulman. Mais surtout, malgré les crises, elle a forgé un modèle politique, celui de la monarchie de droit divin.
Byzance a laissé un triple héritage, temporel, qui passa aux Turcs, spirituel, qui resta aux peuples orthodoxes, et intellectuel, dont profita surtout l'Occident. Politique, militaire, économique, religieuse, intellectuelle et artistique, c'est toute la richesse de cet Empire que s'attache à présenter ici l'auteur.
Le 11 mai 330, les cérémonies qui accompagnèrent la fondation par Constantin de la ville à laquelle il donne son nom marquent la naissance du futur Empire que nous appelons byzantin, mais que les empereurs et leurs sujets ont toujours conçu comme romain.
Sceaux de la Collection Georges Zacos au Musée d'art et d'histoire de Genève. Sous la direction de Maria Campagnolo-Pothitou. Textes de Maria Campagnolo-Pothitou et Jean-Claude Cheynet. Un nouveau catalogue consacré aux collections byzantines des Musée d'art et d'histoire de Genève qui nous offre un regard inédit sur la vie quotidienne du petit peuple et des notables du VIIIe au XIVe siècle. Cet ouvrage offre l'occasion d'étudier les sceaux qui sont déjà publiés à la lumière des dernières recherches et découvertes sigillographiques, et de faire connaître un joli nombre de pièces rares, uniques ou inédites jusqu'ici, dont la plus extraordinaire est sans doute la chrysobulle de cinq solidi de Constantin IX Monomaque.
Ce catalogue est le dernier d'une série des cinq ouvrages consacrés aux collections byzantines des Musées d'art et d'histoire, tous publiés par 5 Continents Editions.
Le volume des Mélanges dédié à Cécile Morrisson, correspondante de l'Institut, pour son 70e anniversaire, comporte quarante-huit contributions portant sur la numismatique, la sigillographie, l'archéologie et l'histoire économique et sociale tant de l'Empire d'Orient de l'Antiquité tardive à la fin de la période byzantine que du haut Moyen Âge occidental.
Paul Lemerle il y a quatre décennies publia deux ouvrages majeurs qui ont marqué l'historiographie de son temps : Le premier humanisme byzantin. Notes et remarques sur enseignement et culture à Byzance des origines au xe siècle, Paris, 1971 et Cinq études sur le xie siècle byzantin (Le monde byzantin), Paris 1977. Il suscita aussi la publication du colloque sur le xie siècle dans les Travaux et Mémoires 6 (Paris 1976), où les meilleurs savants du moment avaient présenté un bilan sur un nombre de thèmes clés pour la compréhension du xie siècle. Les travaux, dans ces domaines, se sont multipliés au cours des dernières décennies et l'objet de cet ouvrage est de faire le point sur les apports nouveaux et les évolutions.
Dimitri Theodoridis s'est intéressé dès sa jeunesse aux bulles de plomb byzantines. Il a constitué une imposante collection qui compte maintenant plus de 1 300 sceaux, en s'efforçant de les sélectionner pour leur qualité de conservation et pour leur intérêt historique. Environ 220 bulles ont été choisies pour ce livre sur le critère de la présence sur la légende du sceau d'un second nom, transmissible. La majeure partie de la collection est inédite et beaucoup de plombs ne comportent pas de pièces parallèles. Les fonctionnaires et les familles vivant sur les marges orientales de l'Empire, les Apokapai, les Brachamioi ou les Marchapsaboi, sont particulièrement bien représentés. Certaines pièces ont une portée historique exceptionnelle, telles les deux bulles au nom de Kakikios Aniôtès que l'on peut attribuer à l'ancien roi d'Arménie, Gagik, ou celle qui nous fait connaître un taxiarque de l'actuelle ville de Nigde. Cet ouvrage contribue aussi à notre connaissance de l'administration byzantine sous les derniers Macédoniens jusqu'au règne d'Alexis Comnène.