Florence Dupré la Tour raconte la grande histoire d'amour de son enfance : celle qu'elle a vécu avec sa jumelle. Avec son lot de bonheur pur, de souffrance, et de questions relatives à toute relation passionnelle. Comment trouver sa place dans un couple ? dans la société ? Quelle est notre part de féminin/masculin ? Après "Cruelle "et "Pucelle" (tomes 1 et 2), Florence Dupré la Tour continue d'explorer sans concession son enfance dont voici le troisième opus, en deux parties.
Depuis sa plus tendre enfance, Florence ignore tout ce qui se passe... en-dessous de la ceinture. Elle imagine que le papa met la petite graine dans le nombril de la maman, et puis de toute façon, il est tacitement interdit, dans la famille, de parler de « la chose qui ne doit pas être dite ».
Alors... Florence imagine des scénarii terribles, parfois idiots ; Florence s'angoisse devant le poids de la tradition qui place inéluctablement la femme dans une position inférieure ; Florence, à sa façon, résiste pour ne pas sombrer.
Avec ce deuxième volume de "Pucelle", Florence quitte l'enfance pour l'adolescence, et avec sa patte tragi-comique, elle raconte les changements physiques et ses rapports ambivalents à sa sexualité naissante. À mesure que son corps change, c'est son regard sur son éducation, sur son rapport aux autres qui évoluent, et surtout les Hommes qui l'attirent tout en la plongeant dans une abîme d'angoisse. Que faire de toutes ces pulsions interdites ?
Et, à mesure que Florence grandit, ce sont les adultes autour d'elle qui semblent rapetisser.
Quand le jeune Capucin, fils du chevalier Gauvain, voit sa noble famille ruinée du jour au lendemain, il part à l'aventure, bien décidé à se venger du monde entier. Mails il a beau se débattre toujours, il s'enfonce encore... Enrôlé de force avec des milliers d'enfants pauvres et sales, Capucin doit bientôt servir les plus vils soldats et les noirs desseins de l'infâme Bouche Dorée. En revisitant avec un humour méchant les romans de chevalerie, l'autrice compose ici un Oliver Twist médiéval et psychédélique.
Florence Dupré Latour raconte comment, de son enfance jusqu'à la fin de son adolescence, elle a torturé, mutilé, tué les petits animaux de compagnie qui lui passaient entre les mains. Version trash des Malheurs de Sophie, ce récit est stupéfiant, singulier et plein d'humour. L'auteure est cruelle mais nous renvoie à une vérité universelle : un bambin qui joue, c'est aussi un redoutable prédateur, un Attila ivre de conquêtes et de pouvoir, un savant fou prêt à toutes les expériences.
Inventaire de situations cocasses ou ridicules vécues par l'auteure en présence de sa mère.
Bayou propose de grandes histoires en bandes dessinées lisibles par tous. Les livres font la part belle à l'aquarelle, à la peinture et aux techniques de couleurs qui changent un peu. Cette collection offre aux auteurs un espace
d'une centaine de pages, pour qu'ils se sentent à l'aise. Qu'ils puissent s'embarquer dans de longs récits et s'amuser avec les couleurs, et que le plaisir de la création libre se retrouve à la lecture.
« La mauvaise pente avait conduit Capucin chez les moines. Mais il ne met pas longtemps à se rendre compte que la vie monastique n'est pas faite pour lui. Il repart à l'aventure, sans se douter que péripéties et sorcelleries
lui donneront bientôt... un jumeau ! Flanqués d'un Merlin impotent et de son orageuse compagne Morgane, les deux enfants se retrouvent chez un père Fouettard aux moeurs menaçantes et sont poursuivis par d'incessantes interrogations : serons-nous toujours ensemble, serons-nous toujours pareils,
nous aimerons-nous toujours ? »
Bayou propose de grandes histoires en bandes dessinées lisibles par tous. Les livres font la part belle à l'aquarelle, à la peinture et aux techniques de couleurs qui changent un peu. Cette collection offre aux auteurs un espace
d'une centaine de pages, pour qu'ils se sentent à l'aise. Qu'ils puissent s'embarquer dans de longs récits et s'amuser avec les couleurs, et que le plaisir de la création libre se retrouve à la lecture.
Florence vit une crise existentielle : elle vient de rompre, a ses enfants affreux en garde alternée et son activité d'auteur de BD est au plus bas. Elle n'en peut plus : ennuyeuse, trop gentille, elle se fait marcher dessus par tous. Soudain, en pleine messe, une illumination la décide à incarner son ancien personnage de jeu de rôles, Cigish Hexorotte, un nain nécromancien, un personnage du MAAAL. Sa vie, elle l'envisage désormais comme une aventure, obéissant à sa vieille fiche de personnage.
Plus on a seize ans, plus on est... forever !!! Et quand tout est nul, moche et con, on est fort aise d'avoir toujours sa soeur auprès de soi. Nous suivons un an ces jumelles bourges et coincées, qui rêvent d'être... ailleurs, autre chose, tout mais... pas ça, dans la bougonnade, la ronchonnade et la grognonnerie.
Borgnol doit partir à la recherche de Bébé phoque, enlevé par les «deux pattes qui puent». Ses seuls alliés dans l'aventure : les congénères du disparu. Mais comment faire d'un groupe de phoques au Q.I. très limité un commando d'élite ?
Monsieur Pierre a acheté pour pas cher une petite maison avec chambre, cuisine, salle de bains, living-room, pipi-room et placard aux balais. Dans ce dernier vit une sorcière, qui ne fait pas de bruit et reste bien tranquille. Sauf si on a le malheur de chanter une certaine petite chanson : « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière ! »
Borgnol a chaud, Borgnol est sale, Borgnol s'ennuie. Pour échapper aux nuées de moustiques, l'ours blanc s'aventure très loin de la banquise et découvre pour la première fois les arbres, les myrtilles, les castors et surtout. les ours bruns !
Borgnol était le plus terrifiant et le plus vorace des ours blancs de la banquise. Mais il a dû un jour prêter un serment contre-nature : sauver une maman phoque, devenir le papa adoptif d'une bande de pingouins, ne plus manger les petits animaux... Tel est maintenant le destin humiliant de Borgnol, l'ours blanc pas content d'avoir faim tout le temps.